vos occupations, & quelle efi cette administration toute definterefiée 3 on aura lieu d’at
tendre de vous beaucoup de grandes chofès. On ne doit pas craindre qu’un homme qui a
les mains fi pures d.ans le maniement des Finances yjoufire déformais que les peuples fioient foulez par les exactions cruelles de ceux qui ne penjent qua s’enrichir aux dépens du pu
blic. On doit esferer plutofi que nous reverrons dans peu de temps nos provinces réta
blies & nos campagnes cultivées 9 puis que
me fine vous porte fi vos Joins au - delà du Rojaume 3 travaillant comme vous faites a l1 établijfement & a la fieureté d’un commerce nouveau qui doit augmenter noflre abondance des biens & des richejfes des pais étrangers.
Il femble que les biens & les richejfes que la France produit elle-mefine > & qui la font çonfiderer pardejfus tous les autres Rojaumes 3 ne fioient pas capables de fiatis faire au defir que vous avez, de la rendre heureufi. Vous voulez que toutes les parties du mon* de contribuent a fin abondance 3 & vien
nent comme tributaires du plus grand Roy
de la terre } répandre à fis pieds ce quelles ont de plus rare & de plus précieux. Vous voule fique l’on voje nos villes opulentes3 &