dégoût que de curiosité, si parfait que soit l’art de la présen-J tation.
Je ne saurais rentrer ici, dans cette chronique forcément rapide, parce que la place nous est mesurée, dans l’analyse des deux pièces, mais je veux cependant dire quelques mots de l’une et de l’autre, ne fût-ce que pour faire comprendre les points de contact et les différences, dans le détail, de chacune d’elles.
Au Gymnase, Joujou, la pièce de M. Henri Bernstein, est surtout une étude de femme, étude de caractère. Celle qui porte ce surnom d’amitié qui, paraît-il, est un simple diminutif de Joséphine, est une jeune veuve, aimable, charmante, jolie,
bonne, et fort libre de sa personne. Si libre même, qu’elle se laisse aimer par Maurice Royère, le mari de son amie Blanche. Elle résiste d’abord, puis est tout près de succomber à la tenta
tion, bien que ce Royère, simple pommier de fruit défendu, soit un vulgaire coureur, type trop connu de l’homme à femmes. Vraiment elle succomberait si son amie Blanche, l’épouse qui sent l’accident, en une scène fort belle, ma foi, ne lui faisait récit des tourments endurés par elle et en lui faisant comprendre que des tourments semblables la menacent elle-même si elle se laisse aller dans les bras de Maurice... « Tu crois pleurer sur moi, — lui dit-elle, — c’est sur toi-même que tu pleures ! » Joujou, rappelée au sang-froid, à la dignité d’elle-même, se refuse alors aux ardeurs de Maurice, qui, pris de fureur, l’injurie, lui reproche de manquer à sa parole..., et la pièce ne finit pas là, bien qu’elle y finisse en réalité. L’auteur lui a greffé un troisième acte, épilogue inutile, où nous voyons, quatre ans après, Maurice, qui n’est pas guéri, parce qu’il n’a pas eu ce qu’il voulait, tenter une dernière attaque, en « fourrageur », contre Joujou, qui résiste plus que jamais à cette fantaisie sensuelle un peu tardive, et se réfugie dans un mariage protec
teur avec un brave garçon, pour lequel elle n’a encore que de l’amitié, qui, peut-être, avec l’aide de l’habitude, se transformera en amour modéré.
La pièce est bien jouée par Huguenet (le mari d’occasion), par Mademoiselle Suzanne Desprès (la femme menacée de l’accident conjugal) et par Calmeites (le bourreau des cœurs). Quant à Jeanne Granier (Joujou), inutile de dire qu’elle y a été, comme toujours, merveilleuse comédienne, surtout dans la partie sou
riante du rôle. Je l’aime moins dans la période émue. Elle est faite pour le rire et la belle humeur, bien plus que pour les larmes.
Au Vaudeville, le Joug, la pièce en trois actes de M. Albert Guinon et Madame Jeanne Marni, est une pièce bien faite, très curieuse, spirituellement écrite, et dialoguée avec beaucoup d’humour, dont le tort est de verser, au troisième acte, dans le théâtre rosse, et de s’appuyer, elle aussi, sur un vice plutôt que sur une passion, c’est-à-dire sur une exception et non sur un caractère général d’humanité. Le héros de l’aventure, Henri Courtial, est un type de célibataire, au tournant de la vie, qui effeuille sa quarante-deuxième année. Riche, indépendant, bon
enfant, pas trop bête, un peu sceptique, bon vivant, mais fatigué , ennuyé et blasé comme un homme qui a toujours
feuilleté le même livre. Il lui faudrait ragoût nouveau pour exciter sa lassitude, car rien ne le distrait plus, pas même les
anecdotes souvent redites de son parasite Jacques Arrivel, un ancien camarade de collège, un intelligent raté, qui vit des miettes de sa table et des fouilles pratiquées en son gousset. Henri Courtial, c’est l’homme fort, ou tout au moins celui qui
croit l’être et qui va choir au premier fétu. Le fétu se présente sous la forme d’une gamine de vingt ans, délurée, spirituelle,
provocante, pas jolie, pire, aguichante comme un fruit aigre que sa mère, Armandine Gambier, ancienne connaissance du Quar
tier latin, amène à Henri, pour que celui-ci lui trouve, parmi ses amis, le bon Monsieur qui voudra bien s’intéresser à Juliette, la protéger de son amitié, et l’entretenir un peu, si possible. Henri commence par hausser les épaules, mais il est si blasé qu’il se laisse prendre lui-même au charme singulier de Juliette qui réveille ses sens endormis. 11 la garde, sans savoir pourquoi,
par désœuvrement, peut-être curiosité malsaine. Elle vit dans la maison, en tout bien tout honneur. D’abord il la dresse même, ainsi qu’un animal domestique , à se soumettre à toutes ses volontés, à tous ses caprices: « Tu vois ce que j’en
ai fait », — dit-il tout fier au parasite Jacques, — or, sous cette apparence d’inertie servile et résignée, Juliette cache une
volonté profonde, enfouie dans son cœur de révoltée. Elle cède partout, mais résiste et se refuse quand c’est d’elle-même qu’il s’agit. Jacques, qui a suivi le manège de ce Sixte-Quint en
jupon, se moque d’elle. Elle s’abuse et n’arrivera à rien, pense-t- il. — A quoi répondant à sa pensée, Juliette riposte impassible et sûre d’elle-même : « Je serai sa femme! » Et comme Henri la caresse en vain, la presse de ses désirs : « Votre femme, oui, — dit-elle, — mais votre maîtresse, jamais!! » Et les choses s’accomplissent comme Juliette l’a voulu; elle devient, en effet, la femme de Henri, sa femme légitime, et c’est elle, à son tour, qui impose le joug, le joug charnel, dominant le tyran d’autre
fois, l’écrasant de sa volonté, parce que celui-ci est follement amoureux de la guenon, qu’il a dans le sang, dans la peau, comme on dit. Et, tour à tour, il lui faut supporter toutes les fantaisies du monstre, jusques et y compris le flirt avec Jac
ques, le parasite Jacques, qu’il a chassé, par un retour d’énergie, et qu’il laisse rentrer, parce que son indignation, sa colère, sa révolie ne résistent pas à ses désirs renaissants. C’est en lui, le réveil d’un baron Hulot, qui s’était assoupi mais dont la passion s’excite, aussi il supporte tout, souscrit à tout, accepte tout, pourvu que Juliette cède, le reçoive en ses bras, et Juliette, froide, hautaine, consent enfin, complaisante, à lui faire l’aumône de son corps, parce que la capitulation est com
plète et qu’elle est sûre de son empire... Je n’ai rien à ajouter au rapide compte rendu de cette œuvre singulière, en sa supériorité d’exécution incontestable. Je dois ajouter que l’interpré
tation en est remarquable en son ensemble. Réjane a fait du rôle de Juliette, une création de premier ordre. Elle s’y est transfor
mée, d’acte en acte, avec une maîtrise irréprochable, une variété d’effets étonnants, tour à tour petite fille sauvage, fruste, faubourienne; puis jeune fille résignée, douce, patiente, avec la sensation qu’en dessous gronde un orage contenu ; enfin la venge
resse, froide, impérieuse, volontaire et hautaine jusqu’au cynisme. Elle a eu des accents de vérité poignante. Madame Daynes-Grassot est la plus admirable duègne qu’on puisse rêver, c’est la perfection du talent. Gaston Dubosc a réalisé, au vif, le type du blasé Henri Courtial, et Grand n’est pas moindre dans le personnage du parasite Jacques Arrivel.
Pour compléter l’historique de cette quinzaine théâtrale, je dois signaler d’abord la réouverture sérieuse du théâtre Sarah- Bernhardt faite parlacomédienneelle-même, retourd’expédiiions lointaines.— C’est par Fédora,un des rôles consacrés de son répertoire, qu’elle a fait cette rentrée, en attendant la Théroigne de
Méricourt, de Paul Hervieu, qui vient d’entrer en répétition; — et ensuite la reprise de MademoiselledeBelle-Isle, à la Comédie- Française, reprise qui ne s’imposait guère, et qui a été faite tout exprès en vue d’une représentation d’anniversaire à donner à Alex. Dumas, la Comédie n’ayant pas célébré le centenaire de sa naissance, célébrera l’anniversaire de sa mort. Je le veux ainsi. Mademoiselle de Belle-Isle a fait montre de quelques rides et de quelques cheveux blancs, mais a eu l’avantage de nous présenter Mademoiselle Cécile Sorel, très élégante et en progrès dans le rôle de la belle marquise de Prie, un emploi qu’elle est seule, ou à peu près, à tenir.
Enfin, pour me montrer plus soucieux d’exactitude que le Préteur antique, qui n’avait cure des petites choses, je dirai qu’à Déjazet, Gladiator ayant vécu, c’est Ferdinand le Noceur qui a pris sa place, tandis qu’à Cluny on restaure la parodie, cette caricature théâtrale trop négligée, par un certain Marquis de Pris-au-Lit, qui n’est qu’un Marquis de Priola déguisé, celle-ci très amusante, ma foi, et très vive d’allure, si vive même que la censure a fait la grimace, et a voulu allonger ses ciseaux. Je pourrais bien vous parler encore de la reprise assez heureuse du Juif errant & l’Ambigu, et de l’éclatante, triomphante, vic
torieuse remise à la scène d Orphée aux Enfers, qui obtient un succès mirifique, au théâtre des Variétés, avec une mise en scène merveilleuse, une interprétation étonnante, et surtout avec cette partition d’Offenbach, plus jeune que jamais.
Nous parlerons de ces choses la prochaine fois : « A chaque quinzaine, suffit sa tâche. »
FÉLIX DUQUESNEL.
Je ne saurais rentrer ici, dans cette chronique forcément rapide, parce que la place nous est mesurée, dans l’analyse des deux pièces, mais je veux cependant dire quelques mots de l’une et de l’autre, ne fût-ce que pour faire comprendre les points de contact et les différences, dans le détail, de chacune d’elles.
Au Gymnase, Joujou, la pièce de M. Henri Bernstein, est surtout une étude de femme, étude de caractère. Celle qui porte ce surnom d’amitié qui, paraît-il, est un simple diminutif de Joséphine, est une jeune veuve, aimable, charmante, jolie,
bonne, et fort libre de sa personne. Si libre même, qu’elle se laisse aimer par Maurice Royère, le mari de son amie Blanche. Elle résiste d’abord, puis est tout près de succomber à la tenta
tion, bien que ce Royère, simple pommier de fruit défendu, soit un vulgaire coureur, type trop connu de l’homme à femmes. Vraiment elle succomberait si son amie Blanche, l’épouse qui sent l’accident, en une scène fort belle, ma foi, ne lui faisait récit des tourments endurés par elle et en lui faisant comprendre que des tourments semblables la menacent elle-même si elle se laisse aller dans les bras de Maurice... « Tu crois pleurer sur moi, — lui dit-elle, — c’est sur toi-même que tu pleures ! » Joujou, rappelée au sang-froid, à la dignité d’elle-même, se refuse alors aux ardeurs de Maurice, qui, pris de fureur, l’injurie, lui reproche de manquer à sa parole..., et la pièce ne finit pas là, bien qu’elle y finisse en réalité. L’auteur lui a greffé un troisième acte, épilogue inutile, où nous voyons, quatre ans après, Maurice, qui n’est pas guéri, parce qu’il n’a pas eu ce qu’il voulait, tenter une dernière attaque, en « fourrageur », contre Joujou, qui résiste plus que jamais à cette fantaisie sensuelle un peu tardive, et se réfugie dans un mariage protec
teur avec un brave garçon, pour lequel elle n’a encore que de l’amitié, qui, peut-être, avec l’aide de l’habitude, se transformera en amour modéré.
La pièce est bien jouée par Huguenet (le mari d’occasion), par Mademoiselle Suzanne Desprès (la femme menacée de l’accident conjugal) et par Calmeites (le bourreau des cœurs). Quant à Jeanne Granier (Joujou), inutile de dire qu’elle y a été, comme toujours, merveilleuse comédienne, surtout dans la partie sou
riante du rôle. Je l’aime moins dans la période émue. Elle est faite pour le rire et la belle humeur, bien plus que pour les larmes.
Au Vaudeville, le Joug, la pièce en trois actes de M. Albert Guinon et Madame Jeanne Marni, est une pièce bien faite, très curieuse, spirituellement écrite, et dialoguée avec beaucoup d’humour, dont le tort est de verser, au troisième acte, dans le théâtre rosse, et de s’appuyer, elle aussi, sur un vice plutôt que sur une passion, c’est-à-dire sur une exception et non sur un caractère général d’humanité. Le héros de l’aventure, Henri Courtial, est un type de célibataire, au tournant de la vie, qui effeuille sa quarante-deuxième année. Riche, indépendant, bon
enfant, pas trop bête, un peu sceptique, bon vivant, mais fatigué , ennuyé et blasé comme un homme qui a toujours
feuilleté le même livre. Il lui faudrait ragoût nouveau pour exciter sa lassitude, car rien ne le distrait plus, pas même les
anecdotes souvent redites de son parasite Jacques Arrivel, un ancien camarade de collège, un intelligent raté, qui vit des miettes de sa table et des fouilles pratiquées en son gousset. Henri Courtial, c’est l’homme fort, ou tout au moins celui qui
croit l’être et qui va choir au premier fétu. Le fétu se présente sous la forme d’une gamine de vingt ans, délurée, spirituelle,
provocante, pas jolie, pire, aguichante comme un fruit aigre que sa mère, Armandine Gambier, ancienne connaissance du Quar
tier latin, amène à Henri, pour que celui-ci lui trouve, parmi ses amis, le bon Monsieur qui voudra bien s’intéresser à Juliette, la protéger de son amitié, et l’entretenir un peu, si possible. Henri commence par hausser les épaules, mais il est si blasé qu’il se laisse prendre lui-même au charme singulier de Juliette qui réveille ses sens endormis. 11 la garde, sans savoir pourquoi,
par désœuvrement, peut-être curiosité malsaine. Elle vit dans la maison, en tout bien tout honneur. D’abord il la dresse même, ainsi qu’un animal domestique , à se soumettre à toutes ses volontés, à tous ses caprices: « Tu vois ce que j’en
ai fait », — dit-il tout fier au parasite Jacques, — or, sous cette apparence d’inertie servile et résignée, Juliette cache une
volonté profonde, enfouie dans son cœur de révoltée. Elle cède partout, mais résiste et se refuse quand c’est d’elle-même qu’il s’agit. Jacques, qui a suivi le manège de ce Sixte-Quint en
jupon, se moque d’elle. Elle s’abuse et n’arrivera à rien, pense-t- il. — A quoi répondant à sa pensée, Juliette riposte impassible et sûre d’elle-même : « Je serai sa femme! » Et comme Henri la caresse en vain, la presse de ses désirs : « Votre femme, oui, — dit-elle, — mais votre maîtresse, jamais!! » Et les choses s’accomplissent comme Juliette l’a voulu; elle devient, en effet, la femme de Henri, sa femme légitime, et c’est elle, à son tour, qui impose le joug, le joug charnel, dominant le tyran d’autre
fois, l’écrasant de sa volonté, parce que celui-ci est follement amoureux de la guenon, qu’il a dans le sang, dans la peau, comme on dit. Et, tour à tour, il lui faut supporter toutes les fantaisies du monstre, jusques et y compris le flirt avec Jac
ques, le parasite Jacques, qu’il a chassé, par un retour d’énergie, et qu’il laisse rentrer, parce que son indignation, sa colère, sa révolie ne résistent pas à ses désirs renaissants. C’est en lui, le réveil d’un baron Hulot, qui s’était assoupi mais dont la passion s’excite, aussi il supporte tout, souscrit à tout, accepte tout, pourvu que Juliette cède, le reçoive en ses bras, et Juliette, froide, hautaine, consent enfin, complaisante, à lui faire l’aumône de son corps, parce que la capitulation est com
plète et qu’elle est sûre de son empire... Je n’ai rien à ajouter au rapide compte rendu de cette œuvre singulière, en sa supériorité d’exécution incontestable. Je dois ajouter que l’interpré
tation en est remarquable en son ensemble. Réjane a fait du rôle de Juliette, une création de premier ordre. Elle s’y est transfor
mée, d’acte en acte, avec une maîtrise irréprochable, une variété d’effets étonnants, tour à tour petite fille sauvage, fruste, faubourienne; puis jeune fille résignée, douce, patiente, avec la sensation qu’en dessous gronde un orage contenu ; enfin la venge
resse, froide, impérieuse, volontaire et hautaine jusqu’au cynisme. Elle a eu des accents de vérité poignante. Madame Daynes-Grassot est la plus admirable duègne qu’on puisse rêver, c’est la perfection du talent. Gaston Dubosc a réalisé, au vif, le type du blasé Henri Courtial, et Grand n’est pas moindre dans le personnage du parasite Jacques Arrivel.
Pour compléter l’historique de cette quinzaine théâtrale, je dois signaler d’abord la réouverture sérieuse du théâtre Sarah- Bernhardt faite parlacomédienneelle-même, retourd’expédiiions lointaines.— C’est par Fédora,un des rôles consacrés de son répertoire, qu’elle a fait cette rentrée, en attendant la Théroigne de
Méricourt, de Paul Hervieu, qui vient d’entrer en répétition; — et ensuite la reprise de MademoiselledeBelle-Isle, à la Comédie- Française, reprise qui ne s’imposait guère, et qui a été faite tout exprès en vue d’une représentation d’anniversaire à donner à Alex. Dumas, la Comédie n’ayant pas célébré le centenaire de sa naissance, célébrera l’anniversaire de sa mort. Je le veux ainsi. Mademoiselle de Belle-Isle a fait montre de quelques rides et de quelques cheveux blancs, mais a eu l’avantage de nous présenter Mademoiselle Cécile Sorel, très élégante et en progrès dans le rôle de la belle marquise de Prie, un emploi qu’elle est seule, ou à peu près, à tenir.
Enfin, pour me montrer plus soucieux d’exactitude que le Préteur antique, qui n’avait cure des petites choses, je dirai qu’à Déjazet, Gladiator ayant vécu, c’est Ferdinand le Noceur qui a pris sa place, tandis qu’à Cluny on restaure la parodie, cette caricature théâtrale trop négligée, par un certain Marquis de Pris-au-Lit, qui n’est qu’un Marquis de Priola déguisé, celle-ci très amusante, ma foi, et très vive d’allure, si vive même que la censure a fait la grimace, et a voulu allonger ses ciseaux. Je pourrais bien vous parler encore de la reprise assez heureuse du Juif errant & l’Ambigu, et de l’éclatante, triomphante, vic
torieuse remise à la scène d Orphée aux Enfers, qui obtient un succès mirifique, au théâtre des Variétés, avec une mise en scène merveilleuse, une interprétation étonnante, et surtout avec cette partition d’Offenbach, plus jeune que jamais.
Nous parlerons de ces choses la prochaine fois : « A chaque quinzaine, suffit sa tâche. »
FÉLIX DUQUESNEL.