Iributions 1res contestables; les peintures y sont aussi distribuées sans aucun ordre. Il suffit d’ouvrir le livret pour s’en convaincre. Le. n i-ést une Résurrection de Lazare par Sébastien del Piombo, tableau très-célèbre. On dit que Michel-Ange, voulant susciter un rival à Raphaël, traça luimême toute la composition. Le n“ 2 est un Claude Lorrain , le n“ 3, un Titien, etc... A l occasion du Claude Lorrain M. Viardot l ait remarquer qu’avec l’idolâtrie des Anglais pour ce maître et le prix énorme qu’ils mettent à ses œu
vres, on peut prévoir qu’ils arriveront un jour à les acca
parer entièrement. Le livret du musée du Louvre en accuse seize; celui de Madrid neuf. «Je n’en ai pas trouvé six, dit-il, dans toute l’Italie. A Londres, au contraire, dans le peu de cabinets que j’ai pu visiter, j’ai compté au moins quarante tableaux de Claude. La Nationdl-Gallèry, elle seule, en a dix, tous incontestables, la plupart impor
tants. » On y voit une répétition, ou l’original du fameux moulin de la galerie Doria à Rome; car toutes deux prétendent posséder l’original. Parmi les peintures les plus re
marquables il faut citer une l· émis de Corrége, un Hacchus de Titien, une Sainte l·amitié et un Saint Jean de Murillo, deux Bacchanales de Poussin... La Nationat-GatUry contient encore un certain nombre de tableaux de l’école an
glaise : d’Hogarth, sa célèbre collection, connue sous le nom du Mariage a ta mode ; des toiles de Josué Reynolds, Benjamin West, Lawrence, Wilkic, Gainsborough.
En France, c’est le gouvernement qui a toujours pris l’i­ nitiative de la plupart des fondations publiques; en Angleterre, au contraire, elles sont dues à de simples associa
tions de citoyens : le Brittsh-Muséum est du nombre.
M. Viardot publie sur celte intéressante collection, dans sa dernière édition, un travail nouveau, dont C Illustration a déjà reproduit, dans les numéros du 29 mai et du 5 juin derniers, la partie relative aux antiquités grecques. Il faut consulter le volume pour y trouver l’analyse des autres collections réunies au Btitish-Musenm : bibliothèque na
tionale, musée d’histoire naturelle, vases étrusques, galerie des antiques, antiquités assyriennes, égyptiennes, lyciennes, arcadiennes, etc.
Le palais Champion-Court, amalgame bizarre de bâtiments anciens et modernes, situé à douze milles au-dessus de Londres, contient unegalerie publique plus déplorablement confuse encore que la Nalional-Gallery, mais à qui vingtsept tableaux de liolbein, et surtout lés fameux cartons dessinés par Raphaël pour des tapisseries que Léon X fit faire à Arras, assurent une grande célébrité. Sept de ces cartons furent achetés par Rubens pour Charles J , puis, après la mort de celui-ci, acquis par Cromwell. Le roi Guil
laume les lit restaurer, et les plaça dans une salle de son
château favori d’Hampton-Court. — Après cette revue des principaux musées publics, à laquelle il faudrait ajouter, pour qu’elle fût complète, la galerie du château de Windsor et de Dulwich-College, M. Viardot termine sa tournée en An
gleterre par l’examen de quelques collections particulières : la belle galerie de Çrosvenar-House, appartenant au mar
quis de Westminster, où figura longtemps, sous un cadre
doré, la fastueuse exhibition d’un billet de banque de 100,000 livres sterling (2,500,000 fr.). — Celle de Staffordllpuse, au duc de Sutherland, où brille aujourd’hui \ En
fant pr, digue de Murillo, le chef-d’œuvre de la galerie du maréchal Soult; enfin le cabinet du poêle Rogers.—Un dernier chapitre est ponsapré à l abbaye de Westminster.
Musées de Belgique. M. Viardot commence par Bruges, à qui appartient le droit d’aînesse parmi les villes de Flandre sous le rapport de l’art aussi bien que sous celui de la politique et du commerce; et à Bruges sa première station, sa première dévotion est pour l’hôpital Saint-Jean et les suaves peintures du Fra Angelico flamand qu’il pos
sède, d’Hemling, si longtemps inconnu ou négligé, et main
tenant remis en lumière, vénéré avec amour et disputé au poids de l’or. C’est vertu au pauvre hôpital de résister au tentateur qui vient chaque jour, la bourse pleine, pour le dévaliser et l’enrichir. Notre musée du Louvre a acquis ré
cemment un mince échantillon de ce maîlre du quinzième siècle. M. Viardot fait de justes vœux pour que le magnifi
que ensemble des neuf volets peints par Hemling, et appar
tenant à M. le docteur Escalier, de Douai, vienne enrichir un jour notre musée national. ·— Au petit musée de Bru
ges on va admirer de beaux Van Eyck et quelques maîtres primitifs. ·— A l’église Notre-Dame, la Vta tone attribuée à Michel-Ange fournit au judicieux critique le sujet d’une discussion lumineuse.
Anvers possède un musée peu considérable, mais d’une haute importance. « Comme F Icademia dette belle arti de Venise, qui est un musée tout vénitien, celui d’Anvers est un musée, non-seulement tout flamand, mais anversois. »
Le chiffre de 300, auquel M. Viardot évalue le nombre de ses tableaux, ne se référé sans doute qu’à l ancien catalogue de 1829, contenant 254 articles, et à son supplément (18ZU).
Un dernier catalogue, fait avec soin par une commission spéciale, classé par ordre chronologique, et qui rectifie plusieurs attributions des précédents livrets, compte 387 ta
bleaux ; il se termine au n° 400, consacré à la chaise qui servait à Rubens aux séances de la corporation de saint Luc. Deux tableaux d’Antonello de Messine, ce maître si rare, sont là pour attester l’antique alliance de l art italien et flamand. L’artiste du Midi vient trouver l’artiste du Nord, Jean Van Eyck, pour apprendre de lui le procédé nouveau
de la peinture à l’huile. Dans son Calcaire, le paysage nous semble être une réminiscence du golfe deBaïa. — Un trip
tyque d’un autre élève de Van Eyck, Rogier de Bruges, le place, selon nous, au rang des premiers peintres religieux de ce temps.—Parmi les Hemling, un portrait d abbé age
nouillé nous paraît une merveille de suavité ascétique. Le nouveau catalogue conteste l’authenticité de son portrait de Philippe de Vrai; nous nous contenterons d’y signaler une grande ressemblance de manière avec deux portraits de la collection de M. Vandenschrieft, de Louvain, attribués
par ce dernier à Hemling.—Toute la valeur du célèbre anversois, Ouinlen Matzys, se révèle dans un grand triptyque, le chef-d’œuvre de ce maître, et, ajoute M. Viardot, « un des chefs-d’œuvre de la peinture. » Il est très-intéressant d’étudier la série successive des anciens peintres jusqu’à Rubens, « non pas le chef des Flamands, comme on a l’ha
bitude de le dire, mais leur héritier suprême; absolument comme Murillo, qu’on appelle aussi improprement le chef de l’école espagnole, en est la dernière expression dans le double sens du mot. Après eux et leurs élèves immédiats, Anvers et Séville ont cessé d être. » Le. catalogue compte de lui quinze toiles, dont quelques-unes très-importantes. La Communion de saint François cl dssise, où le saint agonisant est représenté nu, comme le saint Jérôme dans le tableau de Dominiquin, estime des peintures les plus sai
sissantes du grand coloriste flamand. — Van Dyck est loin d’être aussi bien représenté dans le musée de sa ville na
tale. — Un autre peintre célèbre d’Anvers, David Téniers, dont le seul musée de Madrid possède jusqu’à soixante-seize ouvrages, n’en avait pas un seul ici il y a vingt-cinq ans;
le catalogue en note deux aujourd’hui. — Parmi les derniers anversois, le nom d’Ommeganck, peintre, d’animaux , mort en 1826, a encore de la valeur. Nous trouvons pour dernier tableau sur le catalogue une grande page, historique d’un artiste vivant, M. de Braeckeler, peinture pâle et dilavée,
qui est là comme pour attester la décadence de l’école. — Après le musée d’Anvers, M. Viardot fait une visite, obligée aux églises. Nous désirons que la cathédrale soit remise en possession des deux chefs-d’œuvre de Rubens, dont elle est privée depuis plusieurs années pour cause de restaura
tion : la Descente de croix , qu’on ne pouvait pas encore, voir l’année dernière, et la Mise en croix, que nous avons pu voir enfin restaurée dans une salle attenant à l’église, où l’on faisait de cette vaste toile une exposition réservée, moyennant autorisation et rétribution.
Le musée de Bruxelles compte, suivant le dernier catalogue, 453 tableaux. Les Belges ne le tiennent pas en grande estime; mais, « dit M. Viardot, il vaut mieux que sa réputation. i> Rubens y est représenté par sept vastes toiles, dont quelques-unes, d une exécution large ethardie
dans le style décoralif, calculées pour un effet perspectif dans des églises, ne sont plus convenablement placées dans l’espace restreint des salles du musée.
Musées de Hollande. —· Le petit musée d’AMSTERDAM, plus ancien que la plupart des autres musées de l’Europe, est tout hollandais. C’est là qu’il faut aller admirer la fa
meuse patrouille de garde civique, improprement appelée la Fonde de nuit. Cette œuvre capitale de Rembrandt a là une autre toile rivale, aussi belle, du même maître : les Syndics de la corporation des marchands de draps. C’est là qu’il faut aller pour admirer un maître presque inconnu ailleurs, Van der Helst (1613-1670). Des Gérard Dow, des Karel-Dujardin, des Van der Heyden, des Van de Velde, des Paul Potier, des Adrien Oslade, des Terhurg. des Wouwernians, des Steen... figurent parmi les œuvres les plus re
marquables de cette précieuse collection. — Le musée de Rotterdam est très-récent. « Il se compose à peu près en
tièrement du legs fait à sa ville natale par M. le copseiller Otto Boymans, mort en 18Zi7, qui avait consacré sa vie et sa fortune à §e former un cabinet de tableaux et de c}es sins. » — La célèbre galerie du roi de HoHande a éjë ven
due et dispersée il n’y a pas longtemps ; mais la ville de la Haye possède un musée où brillent encore des œuvres de premier ordre, telles que la Leçon d anatomie, du profes


seur Tulp, par Rembrandt; lé Taureau, de Paul Potier.


— Les exemples d’Athènes et de la Grèce antique, ceux de Florence indépendante et de Venise, attestent «que la forme monarchique, comme le fait remarquer M. Viardot, n’était nullement indispensable à la culture des arts, pas plus qu’à la gloire et à la fortune des artistes... La Hollande offre un exemple encore plus récent, plus cpipplet et plus décisif.
Depuis sa révolte contre le roi d Espagne , en 1572, jusqu’à la paix d’Utrecht, en 1713, la Hollande eut un gpuvernement purement populaire. C’est néanmoins pendant cette époque de pleine liberté comme d’entière indépendance, alors qu’elle résiste successivement à l’Espagne, à l’Angle
terre et à la France..., c’est pendant celte époque glorieuse que fleurit aussi son école de peinture, depuis Lpcas de Leyde jusqu’à Van Huysum. »
Nous nous arrêterons ici et passerons sous silence les derniers chapitres consacrés par M. Viardot aux Musées de Russie, à la galerie de VErmitage de Saint-Pétersbourg, au Palais de Tauride, aux Galeries pat twidières , et enfin au Kremlin de Moscou. Bien que notre analyse de son vaste travail soit sommaire et superficielle; bien qu’elle se réduise, pour ainsi dire, à une sorte de table des matiè
res, et que nous l’ayons laissée incomplète ou même tout à fait supprimée sur bien des points, elle a exigé deux longs articles, tant est grande l’abondance du sujet embrassé par l’auteur. Nous avons pensé que cette revue rapide de tous
les musées de l’Europe devait intéresser la curiosité, et qu’elle suffirait, malgré son aridité, à appeler sur la publi
cation de M. Viardot 1 attention de ceux qui ne le connaissent pas encore. C’est pour ceux qui voyagent un indispen
sable compagnon; c’est pour ceux qui ne voyagent pas, mais qui désirent s’instruire, un utile répertoire à consul
ter, riche de faits et de renseignements. C’est l’histoire de la peinture, présentée à l’occasion des musées de l’Europe,
et avec une critique judicieuse qui n’a pas moins contribué que son utilité réelle à donner à cet ouvrage la juste réputation et l’autorité dont il jouit.
A. J. Du Pays.
Achèvement du Louvre.
L’achèvement du Louvre et sa complète réunion au palais des Tuileries est un projet déjà ancien, mûri par le temps
et la discussion, et qui touche aujourd’hui à son terme. En dehors (les questions de politique ou d’un intérêt géné
ral, rarement une. idée a préoccupé l’attention publique, nous dirions presque, passionné les esprits, à un plus haut degré. C’est qu’en effet, par sa grandeur , l’entreprise sé
duit l’imagination et répond aux instincts d’un pays sans contredit 1e premier dans les arts, el qui, à cet égard comme à bien d’autres, peut à bon droit prétendre à léguer à la postérité un ouvrage unique en son genre, comme une haute expression de sa puissance et de sa civilisation.
Depuis plus de deux siècles la pensée de cette œuvre, conçue au moins en partie et Commencée par Henri IV,
avait été poursuivie sous plusieurs des règnes suivants. Toutefois, subordonné aux chances et aux alternatives de la politique, le projet, tour à tour languissant ou repris, semblait condamné à un ajournement indéfini. On peut se faire une idée de l’hésitation el de l’incertitude qui ont si longtemps retardé l’entreprise, si l’on considère une l’intervalle qui sépare le Louvre des Tuileries fut déblayé d’a­ bord sous le règne de Louis XIV, peut-être en vue de réa
liser les plans de Perrault. L’espace rendu libre au moyen de l’acquisition successive de propriétés, telles que l’hô
tel de Chevreuse, l’hôtel de Rambouillet, l’hospice des Quinze-Vingts, et d’autres immeubles importants, fut une. seconde fois, sous les successeurs du grand roi, encombré par des dépendances du service des Tuileries et du Palais- Royal, par des habitations particulières, et par la création de quartiers nouveaux qui s’avancèrent, d’un côté vers l’en
trée ouest du Louvre, el de l’autre jusqu’aux abords de la cour des Tuileries. Il y a peu de temps encore, n’avonsnous pàs vu subsister, isolée sur le Carrousel, une cons
truction peu ancienne, connue sous le nom d hôtel de Naines, comme un témoignage de l’impuissance qui semblait s’attacher éternellement à l’accomplissement de l’œuvre, et reléguer le projet parmi les chimères?
Cependant la tradition de la pensée première avait marché avec le temps, acquis une certaine consistance et pres
que de la popularité. On a Ja preuve de la préoccupation sérieuse dont elle fut de bonne heure l’objet, dans un projet nettement formulé dès 1.728 par l’architecte Desgodets. Pendant la dernière moitié du dix-huitième siècle, sous
Louis XVI surtout, époque féconde en théories nouvelles et en projets de tous genres, on voit l’œuvre de la réunion du Louvre et des Tuileries loin d’être oubliée, après un long repos, se raviver par les controverses et par la discussion de ces élucubrations sans nombre que la question fait éclore, et qu’expliquent suffisamment d’ailleurs les idées du temps,
en présence des proportions colossales et des difficultés de l entreprise (1).
C’est qu’indépendamment des oscillations de la politique et des considérations financières qui sous plusieurs règnes dominèrent la siluation , le projet était hérissé de problè
mes techniques, en raison des différences de niveau du sol et des défauts de parallélisme, d’exigences d’art, puis de convenances et de nécessités quant à la destination des constructions.
En effet, il s’agissait de relier et de coordonner avec quelque unité des édifices d’époques différentes, élevés presque, au hasard sur des plans et dans des styles di
vers, sans aucune prévision d’ensemble, et encore moins de réunion ultérieure. Si l’on jette rétrospectivement un epup-d’œil rapide sur l’âge et la disposition des construèlions qu’il fallait entreprendre, de ramener à un ensejnblé harmonieux, on voit, pour le Louvre, le roi Fran
çois 1er substituant, en 1541, au vieux Loiivre du moyen âgé, fondé par Philippe-Auguste, des constructions élevées sur lès dessins de Pierre Léscot, dans le goût alors domi
nant en Italie; Henri H faisant pousser jusqu’au pavillon Lesdiguières, aujourd’hui le guichet dupont du Carrousel, cette aile si élégante, parallèle à la Seine ; Charles IX ordonnant la première construction de la galerie d’Apollon. Chaque règne contribue à cette œuvre, mais au hasard tou
tefois, et sans idée d’ensemble. Au roi Henri IV semble, connue nous l’qyons dit, appartenir l’initiative de la réunion du Louvre au palais de Catherine de Médicis, et l’active impulsion qjpjj imprime aux travaux, trahit l’ardeur de la pensée qu’il s’agit de réaliser, il prolonge au-delà de l’en
ceinte de Paris Faite menée par Henri II à mi-chemin du palais que Philibert Delorme n’avait qu’à peine ébauché. Ce travail, commencé sur les dessins deDupeyraç, est pour
suivi, et à peu près terminé, par Clément Mélezau. Plus tard, Lemercièr élève le pavillon de l’Horloge au centre de l’aile ouest du Louvre; enfin Claude Perrault, substituant ses plans au projet avorté du Bernin, est chargé, par Louis XIV, de l’achèvement du Louvre, et construit la co
lonnade etlles façades extérieures sud et nord du palais.
Les projets de réunion qui ont repris faveur au début de ce règne, sont bientôt abandonnés pour Versailles. Dès
lors cette pensée sommeille comme tant d’autres, sous Louis XV. Plusieurs architectes seulement mettent la main
de temps à autre à quelques parties du Louvre. Tour à tour Gabriel, Soufflot, y laissent la trace de leur passage, lorsque, peu de temps après son avènement, Napoléon,
arrachant le Louvre à un long oubli, en confie l’achèvement à Percieret Fontaine, et entreprend au nord des Tuileries l’œuvre de la réunion complète des deux palais. L’his
toire des constructions des Tuileries, quoique moins longue et aussi moins accidentée, présente toutefois des phases diverses. Encore inachevée, l’œuvre de Philibert Delorme passe pour avoir été continuée par Jean Bujlant, et aug
mentée par Androuet Ducerceau, pour réaliser les plans de réunion d’Henri IV, qui y fait ajouter ces massives cons
tructions qui se prolongent vers la Seine, y compris le pavillon de Flore, et qui viennent se relier par l’aile en re


tour sur le quai, d’un style si massif et si regrettable, à


(1) L’Illustration a publié dans son numéro du 26 août 1848 les spécimens de cinquante projets d époques diverses, dus à autant d’auteurs différents. On en pourrait citer bien d’autres encore.