lontaires ne peuvent être placés sur la même ligne et ne sauraient conférer les mêmes droits. Les premières ne sont-elles pas exclusi
vement du ressort «le l assistance social >, les autres étant réservés à la charité i nvee ? On a trop négligé jusqu’ici une distinction si fondamentale La pensée que l État fait l’aumône anime plus où moins ceux qui distri lient les secours publics, et elle pèse à ceux qui les reçoivent. Peut-être, à la lumière de ces idées générales, l’auteur eût vu plus profondément dans le passé et plus loin dans l’a­ venir.
I/utilité, les mérites éminents de t’Astis anec sociale subsistent malgré cette lacune. L’ouvrage intéresse, il attaché ; il plaide avec chaleur la c utse des pauvres et des déshérités. 11 s’inspire des plus nobles motifs de l’ordre moral et religieux. On y apprend beaucoup, mais la générosité des sentiments et une courageuse indépendance de pensée le relèvent au-dessus des liv ras de pure science. L’auteur a travaillé pour l’avenir. Quand ou voudra sérieusement réorgania r l’assistance sociale, le livre de M. Hubert-Yalleroux sera un des premiers à consulter.
F. Huet.
Courrier de Paris.
Ce pauvre monde des heureux, on ne lui laissera donc pas le temps de respirer! Jamais encore ceux qui n’ont rien à faire n eurent plus d’occupations; en proie aux ardeurs de l’été, ils vont danser, ils dansent. Les b ils de jour n’effrayent plus les belles de nuit; puis, le soir venu, on se re


pose dans une nouve le agitation, celle de la comédie de pa


ravent. L’art des Rose-Chéri et des Allan, et même l’art (l’une Déjazet n’a plus de mystères pour une infinité de nos mondaines, et c’est un charme et une surprise de plus pour leurs hôtes de l’elranger.
Ailleurs, c’est-à-dire partout, l’encombrement continue, et voila que les trains de l exposition menacent de l ac
croître encore. Une statistique, véridique comme elles le sont toutes, évalue celte population supplémentaire et flot
tante à cinq cent mille âmes, et tout cela pullule, marche et roule par la ville, chaque famille exotique a la remorque d’une autre famille indigène qui lui sert de cornac. Il n est pas jusqu’aux domestiques qui ne demandent des congés à leurs madrés pour promener des connaissances Si l’on s’é­
touffe aux barrières et sur la voie publique, on est du reste fort à l’aise dans les hôlels et autres garnis, la plupart de ces spéculateurs comptaient bien avoir a refuser du monde, et il y a eu désappointement de ce côté-la. Quoi qu’en dise la grande presse en ses historiettes, Paris sait trop bien vi
vre pour laisser ses h‘des coucher à la belle étoile ou pour les rançonner à outrance. On veut pourtant qu une dame soit venue d’Amiens avec une provision de pâtés, dans la crainte de manquer de pain à Paris ; on veut encore que
des provinciaux fantaisistes se soient réfugiés a l’hospice Dubois pour y faire bonne chère à bon marché, et... nous le voulons bien aussi.
La grande émotion du jour, et qui se prolongera pendant un mois, c’est l’arrivée prochaine de S. VL la reine Victoria,
un de ces événements d’autant plus mémorables qu il n a presque pas de précédents dans l’histoire. Henri VIIf, ren
dant visite à François I , ne dépassa pas le camp du Drapd’Or. La reine Victoria accepte l hospitalité impéri de pen
dant plusieurs jours. C’est au château de Saint-Cloud qu’elle doit résider; grâce à une attention délicate, elle se retrouvera là dans son château de Windsor, entre Paris et V ersailles. S. M. Britannique amène une suite considérable, c’est-a-dire l’élite de la population de ses trois royaumes. Il
est du devoir de tout gentleman de suivre sa souveraine à l’étranger, l’etiquette l’exige et son affection le lui commande encore plus. Le.faubourg Saint-Honoré et le faubourg Saint- Germain auront-ils assez d’hô .els pour loger celle multitude dorée? A ce sujel, voici un beau Irait d hospitalité ; le pro
priétaire de 1 habitation la plus somptueuse des Champs- Elysées vient de la mettre a la disposition d’un noble lord et de sa famille, sans en distraire ia moindre chambrette pour son usage particulier.
On a déjà dit et on ne saurait trop redire que cette féerique avenue des Champs-Elysées sera bientôt la rue la mieux bâtie et la plus affairée delà capitale. Les Hauts lonolio.inaires de l’Etat, de même que les plus grands dignitaires de la Bourse, s’y disputent le terrain à prix d’or. L’avenueOabrielle offrira bientôt la plus charmante banliere de palais, romains, étrusques, palermitains, dont les heureux posses
seurs sont ou seraient S. A. le prince Napoléon, M. Fould, M. Pereire, et M“e Itacliel. Champs-Elysées toujours : Dans les terrains qu’on dispose en forme de nouveaux jardins pour l embellissement de l’hôtel qu occupera M “* la com
tesse de Montijo, un arbre glorieux sera respecté sans doute ; c’est un saule pleureur dont ia provenance est précieuse, puisqu’il est né à Sainte-Hélène sur la tombe même de l’Em
pereur. N’ayant pas le temps défaire aujourd hui la légende de cet arbuste, bornons-nous a constater son existence, ignorée peut-être de l illustre proprietaire.
Autre digression. Des i npatients nous ayant demandé pourquoi V Almanach impérial de 1855 n’a pas encore mon
tré ses feuilles, on peut leur répondre qu’ils ne perdront rien pour avoir attendu si longtemps : le retard aura profité au livre, qui vient de paraître orné de portraits. C’est une innovation heureusement renouvelée des cours allemandes et de VAlmanach de Gotha.
Les colonnes du Moniteur, naguère surchargées des noms de ceux de nos com aatriotes autorises à porter des dégrafions étrangères, offraient une liste glorieuse que tout le monde aura lu avec une émotion bien légitimé.
C’est la liste des braves blessés et décorés sous les murs de Sébastopol ; des dévouements parements civils ont reçu
aussi leur récompense. Dans le nombre, il faut distinguer absolument un enfant de dix ans — il s’appelle Pierre Vlazon, — lequel, au péril de ses jours, a sauvé un homme et mérité une médaille de deuxième classe. Mais qu’importe la catégorie de la récompense, l action est de première classe1, et c’est l’essentiel,
A propos de récompenses, l’Académie continue à faire parler des siennes. Le prix Montyon aura celte année de nombreuses lauréates. Toutes sortes de Corinnos, armees â la légère, sont descendues dans l’arene, et disputent la
palme aux rimeurs patoisants. La beauté de leurs vers ne saurait tenir contre les vers de la beauté. Des mythologues de petite chronique prétendent qu’on a vu parfois tel Jupiter du fauteuil se transformer en pluie-Ylontynn p >ur ar
river au boudoir de Danaé, et le denoûment de l’histoire aurait donné un démenti a la fable. Ce serait une maniéré bien originale (te s’assurer si la prétendante est digne du prix qu’on lui décerne. Ici comme ailleurs, on a ses mé
dailles de deuxième classe, et l’on déroge beaucoup au principe de l égalisation des récompenses, L’Académie ta
rife aussi son monde et couronne la verlu par fractions. Il y aura cetle année, comme toujours, des moitiés et des
quarts de vertu, la plupart même, tant la concurrence est grande, — se trouvent ajournées après plus ample examen de leurs vers ou de leurs belles actions, et ne seront pro
clamées vertus que sous bénéfice d inventaire. Dans tous les temps on s’est représente le sénat littéraire de la France comme une assemblée de muets qui n’avaient rien à faire, lorsqu’au contraire ces messieurs travaillent comme des Bénédictins. Pour que personne n’en ignore, les séances particulières de l’Académie deviendraient des séances pu
bliques, mais le bureau propose, et c’est la majorité qui dispose. Ainsi tomberaient les mauvaises plaisanteries à l’endroit du dictionnaire, et le public admis au spectacle de l enfantement ne lui refuserait pas sa bénédiction,
La principale nouveauté de cette saison brùlanle, c’est que les théâtres regorgent. Il y a foule surtout pour la tra
gédie qui moissonne abondamment sur le terrain Ventadour devenu si ingrat pour la musique. Ce prodige est dit à M ,e Histori, dont la spéculation voudrait bien exploiter le
talent. Un accapareur lui aurait offert des sommes folles pour la promener sur tous les continents, mais l’éminente actrice, en femme bien née et bien élevée qu’elle est. ne veut pas courir si loin âpres la fortune. La place étant libre,
et le siège vacant au Théâtre-Français, rien ne s’oppose à ce qu’elle y entre, et son engagement sera conclu un j mr ou l’autre, s’il ne l’est déjà, et on dit qu’il l’est. Puisse l’exemple donné par M“e Histori profiler à celles de ces da
mes qui font métier et marchandise du relief que Paris leur a donné, et qui préfèrent a ses suffrages quelques poignées d’or de plus, à recueillir citez les Yankees Je n’ai pas à constater la vogue extraordinaire de l’Opéra-Comique; mais, sans empiéter sur les domaines, — rogna assignant,


— de noire confrère musical, c est un trait de m eurs à re


lever dans une chronique parisienne que cet enthousiasme frénétique de la province pour l’Opéra-Comique. Venir à à Paris tout exprès pour voir l’Exposition, en vérité la pro
vince n’y songe guère, les spectacles ne sont pour elle qu’une distraction, mais l Opéra-Comique c’est son besoin,
sa passion et sa vie. Le Vaulev.lle seul, au bon temps où l’on y chantait, eut sa part dans ce fanatisme ; on emportait au chef-litu tous ses refrains, et il y en avait pour dix ans à les freden ter, mais aujourd’hui le Vaudeville ne chante plus, ou Lien il ne connaît plus qu’une chanson, la chanson de Marco.
Ce même théâtre vient de nous rendre celte horrible Marco sous le nom d’Olympe, et il a plu â M. Augier, cet esprit si délicat et si distingué, d en faire une baronne d’Ange qui aurait réussi. J’imagine que Fauteur, honnête
ment indigné de tout le bruit qui s’est fait dans ces der
niers temps autour des filles de marbre, et de l’importance attribuée aux femmes du demi monde, aura voulu en finir avec elles, et, sous ce rapport, je ne sais rien de plus méritoire que sa pièce. Laissez passer la justice du poète co


mique : M. Augier a tiré sur cette engeance à bout portant, et il l’a exterminée dans la personne d Olympe, on n’en par


lera plus. Au risque de Venir après une douzaine de redis, nous devons vous dire que celte demoiselle Olympe Tavcrnier, une villageoise pervertie, après avoir rûli le balai dans la grande ville, a rencontré dans les bocages de la Chaimière on de Mabilie, un jouvenceau de boiiuc maison et de
bonne mine qui est devenu son mari légitime. Six mois déjà passes, le jeune homme a dérobé de son mieux a sa famille les antécédents d’Olympe, la tenant un peu en pé
nitence dans un vieux castel de Bretagne; douce pénitence pour la tlélen le, si elle aimait le geôlier, mais ces demoisel es n’aiment que leur fantaisie, et la fantaisie d Olympe, c’est d’être présentée à l’oncle de son mari, un marquis de Puÿgiron, ambassadeur de France à Berlin, en congé aux eaux de Spa, pour raison de santé.
Or àSpa,—comme dit l’infatigable touriste Adolphe Joanne dans un nouveau petit livre de sa spirituelle façon,—la vie se passe a pied, a cheval, en voiture; ce qu on a fait des vingtquatre heures de la journée? on l ignore, et c’est tout dire.
A Spa, en fait de malades, il n’y a que des gens qui sont guéris. Toutes sortes de beautés viennent s’y guérir, par le bal, d’avoir trop dansé l’hiver ; il leur est ordonné, de par toutes les facultés, de s’y faire parées, souriantes et sédui
santes. On y boit trois petits verres d’eau, mais aussi on y fait trois grandes toilettes par jour, on se promène pour se
délasser du cheval, on monte a cheval pour sc reposer de la Voiture ; le spectacle est le bienvenu après le bal, et le bal lui-même est l’avant-coureur du souper. Ajoutez que ce séjour des grâces est aussi celui des ris et do tous les jeux, et que l’on s’y trouve en bonne compagnie, sans préjudice de la mauvaise. M “ Olympe sait tout cela pertinemment, et la présentation aux grands parents se réduit a un prétexte pour renouer avec son monde. Au bout d’une scène de pa
telinage très-bien filee et où la drôlessé a menti avec une impudence qui remplit d’horreur l âme de_ sim candide époux, elle est rentrée, en grâce avec les Puÿgiron ; la voila honorée, la voila marquise, mais ce n esl pas la son compte.
Cetle ma heureuse regrette la bourbe de sa vieùntàme, elle vient de retrouver un complice de ses désordres, ol tout à
l’heure encore elle se faisait faire un cadeau par le premier venu, si bien que lorsque son associe par-devant no
taire s efforce de rallumer eu elle la lumière du cœur, elle ne trouve rien a lui repondre, sinon : je m’ennuie, ou plutôt vous m ennuyez prodigieusement, mon cher, vous et votre famille; si je vous ai épousé, c’était pour arriver a Une séparation Donnez-moi ma liberté et 500,000 fr., et nous se
rons quittes. Ici commence un spectacle assez douloureux,
et l’auteur a dû recourir à toute son habileté pour le rendre à peu près supportable. En présence de ce mari qui dévoré sa honte pour sauver Iss apparences, Olympe ne songe qu’à trouver un moyen de le pousser a bout, et le hasard lui en
voie les comparses nécessaires pour cette mise en scène du s landale : sa mare d’abord, une mère digne d’une telle fille,
pu s un chevalier d’industrie, puis un cabotin ivrogne, et tout ce monde se grise de compagnie dans le salon de M. Fambassa leur de France à Berlin,
Et, comme s’il n’y o,n avait pas assez comme cela pour casser les vitres, Olympe, abusant des secrets d’une jeune liile, l’.iéritiere des Puÿgiron, a tenté de la perdre. La mesure
ainsi comblée, on attend impatiemment le vengeur de tant de forfaits. — On va vous donner de l or, lui dit le vieux marquis, mais vous quitterez notre nom que vous déshono
rez, el vous irez cacher votre infamie a l’étranger. Mais la courtisane lui rit au nez; si bien que le vénérable diplo
mate, a bout d’arguments et trouvant un pistolet sons sa main, finit par tuer l infame comme une bète fauve. Ci-gît la derniere fille de marbre au thealre, et c’est vraiment dom
mage q le le denoûment ait paru trop énergique pour une coméd e, car, si l on excepte quelques détails trop crus, la pièce réunit toutes les condi tions du succès, elle amuse, elle intéresse, Cite.fait peur. Tout ce qu’on peut reprocher à M, Augier, c’est un excès de verve et d indignation : il a frappé juste mais un peu trop fort. Une autrefois, il se gar
dera bien d’oublier que le public n’aime un peu avoir tuer
une femme que dans la tragédie. Et puis la pièce est-ellejouée comme elle mériterait de l être?
Quant à la Porte-Saint-Martin, son nouveau drame mériterait un feuil elon spécial, et notre cadre est trop exigu pour une si grande toile : c’est Paris et son histoire prise ub ocu, traduite en tableaux merveilleux et mise en action d’une façon splendide. C’est un voyage immense à travers les siècles, les grands événements et les grands hommes,
depuis la Ltilece de César jusqu’à la vide souveraine de Louis AIV et de Napoléon [ . Celle épopée, divisée en vingts x chants, ne dure que six heures, et ce poids formidable de quatre-vingt-douze rôles est por.e très-lestement par vingt acteurs. C’est un succès épique et des plus brillants.
L’auteur a cru devoir garder l’anonyme, mais il est juste de. lui rendre son succès avec tout le monde : c’est M. Paul Meurice.
Le théâtre Mont msier, qui ne doute de rien, vient de reprendre à Voltaire le conte de ta Belle.Arsène :


J aime à régner, s a des hommes s ente i i ;


Ils sont tous nés pour ramper da is ma chaîne ; C est leur d si in, < st leur Je tro tVe bon que l on me serve en reine; Mais sans sujet la gra deu. e>tuu vent.
Ainsi s’exprime M“° Arsène, et la Bégueule de la Moütansier, — une bien grande dame, c’est M “ Duverger, — traduit la tirade dans son joli patois.
Puis vient le charbonnier de ta situation, le malotru d’un autre conteur, et qui devient le serviteur de cette autre fille un peu trop fiere :
H las ! liflas ! dit la dame affl gée, Il faudra donc quici je soi* mangée,
D un diarbtniii r ou de la dent u’un loup.
Or, le charbonnier, c’est Hoffmann, un comédien accompli dans des rôles de rien du tout, et connue la pièce est agréable el spirituelle, il y a eu des bravos pour deux.
Il ne nous reste plus qu a recommander a votre curiosité cinq petits actes dignes FAmbigU, le Voyage du haut en bas, farce étourdissante très-bien faite pour réussir et qui a beaucoup réussi.
Philippe Busoni. Correspondance de Crimée.


Devant Sébastopol, 7 juillet.


Depuis l’attaque de la tour Malakoff, le 18 j.ii >, ii îry a pas eu d’engagement. D’après des r qipons de d ’serteurs ou d espions, on pouvait cr ôndreune attaque sar.euse, car, dis it-o i, le général Lu
ders venait avec 50,000 hommes, décidé are; rendre les ouvrages Bl.inos et le munekm Vert, même au (fis des plus grands sacrifi
ce t. Ces reuseig îements, m Jgre leur peu de j robibnité, n’étaient pas à négliger, et pendant trois jours lions avons redottbiéue précau
tions et de vigilance, Les Russes, de leur coté, sout continuellement sur le qui-vive, d uis la cr linte d une nouvelle attaque. Les renforts qui sont entras d ms la place les 15, 10 et 17 juin, n’en sont pan sortis, en outre, il y a quelques jours, 2,000 hommes ont traversé la r ale pour se rendre eu vide, de sorte qn’actueUement la g iruisuu est dé 50,000 hommes, au lieu de 20 à 25,000 qu’èlle était auparavant,
Le tr iVail est, poussé (le part lit d’autre avec la plus gi amie activité ; nous sommes sur le poi.it de terminer une nouvelle parallèle
qui passe en avant des t tanières, Ou la 5 division a trouvé des abris eu revenant de t’att q.ie du retr mollement,, et auxquelles elle doit de né pas avoir éprouvé de plus grandes pertes, cette parallèle tourne autour du mamelon Vert en te prolongeant à droite, et fa.t ainsi face à la tour Mal iko Jet au petit Redm. Lorsqu elle sera ter
minée, on d boucliera en sape double sur la tour Malakoff et sur le petit Red an.
Du coté du ,Carénage, ou construit une batterie au-dessous de l’ancien ouvrage russe dit du Deux-Mai. cette batterie empêchera les bâtiments a vapeur russes de venir s’embosser vis-à-vis la ixiio du Car nage et. d’v envoyer leurs feux. Il est bien regrettable quu cette batterie n’eut pas déjà été construite lors da 1 attaque de la tour Malakoff, car la division Mayrm n’aurait pas éprouvé les pertes qu’elle a faites, pertes causées principalement par la mitraille dé