Ab. pour Paris, 3 mois, 9 fr. — 6 mois, 18 fr. — Un an, 36 fr. Prix de chaque N , 75 c. —La collection mensuelle, br., 3 fr. Etats-Rom. etroy des Deux-Siciles, par trim., 13 fr. 75 c.
N° 666. —Vol. XXVI.—Bureaux s rue Richelieu, 60. Vu les traités internationaux, les éditeurs se réservent le


droit de reproduction et de traduciion à l’étranger.


Al), pour les dép.—3mois,9fr. —6 mois, 18 fr.—Unan,36fr. Ab. pour l’étranger, — lOfr. — 20fr. — ûO fr.
Id. la Belgique, — llfr. 25c.— 22fr.50c.— 45·fr.
SOMMAIRE.
Histoire de la semaine. — Courrier de Paris. — Chemin de fer de Saint- Quentin à Erquelines. — Le général de Pontevès. —M. Paillet. —Com
ment finissent les poètes (suite). — Inauguration du chemin de fer de Lisbonne à Cintra. — Revue agricole. — Exposition des beaux-arts ; souvenirs d’un spiritualiste — Beaux-Aits ; école hollandaise. — Chro
nique musicale. — Revue scientifique. — Exposition de l’industrie; les carrières de pierres bleues en Belgique.— Médaille de la colonie européenne d’Egypte.
Cravures : Arrivée de S. M. le roi deSardaigre au débarcadère du chemin de ter de Lyon, à Paris. — Une scène de la Joconde, au Théâtre-Fran
çais. ·<— Le nouveau pont de Cologne sur le Rhin. — Portraits : le général de Pontevès; M. Paillet. — Réception du général Canrobtrt à Stoc
kholm.—Inauguration du premier chemin de fer en Portugal. — Salon ; Rembrandt dans son atelier, par M. Hollander; Un jeune ménage, par
M. Blés; Intérieur d’une ville de Hollande, par M. Veisenkruck; Re-‘ quête présentée, par des chiens, par M. Gempt. — Un Te Deum, par M Bosdoom. — Monolithe en pierres bleues dis carrières de Soignies. — Médaille offerte à Sàïd-Paeha. — Poses de gymnastique. — Rébus.


Histoire de la semaine.


Décidément la campagne est terminée jusqu’au printemps prochain. Chacun semble vouloir rester dans sa position, et se borner à une observation attentive des mouvements
de l’ennemi. La canonnade a presque cessé des deux côtés, et les deux années se préparent à passer l’hiver dans les meilleures conditions possibles. On avait d’abord compté
se servir de ce qui restait de Sébastopol, pour en faire des abris solides et commodes pour les troupes qui s’y seraient trouvées en campement, mais la destruction complète de la place a été résolue, devant l’acharnement des Russes a anéantir ce qu’avait épargné le canon. Les ingénieurs fran
çais et anglais s’occupent en ce moment à faire sauter par la mine çc qui restait encore debout, et bientôt de celle puissante citadelle il ne restera plus que des ruines infor


Réception de S. M. le roi de Sardaigne à la gare du chemin de fer de Lyon, le 23 novembre 1855.




L’ILLUSTRATION,




JOURNAL UNIVERSEL.




1er DÉCEMB. 1855.