c’est qu’ils se suivent et se ressemblent prodigieusement. Voici pourtant du neuf ou de l’exhumé pour ceux qui l’ai
ment. Un industriel, trouvant sans doute que l’hommage de la carte envoyée par la poste ou déposée chez le concierge est une démonstration qui ne suffit plus, vient d’in
venter les complimenteurs à domicile, imitation lointaine des pleureurs ou pleureuses de l’antiquité. Un Monsieur tout de noir habillé, comme le page de Malbrouck, et ganté frais à l’instar des associés que, sous prétexte de domesti
ques, l’hôtel du J,ouvre donne à ses hôtes, un Monsieur donc, muni des instructions nécessaires, se présente chez...
chez vous, Madame, si ça vous est égal, et il· vous tient à peu près ce langage : « Permettez qu’en ce beau jour je...—
ce que disant, le fondé de pouvoirs ouvre outrageusement ses grands bras. — Mais, Monsieur, qui êles-vous, je ne vous connais pas. — Ça ne fait rien, embrassons-nous tou
jours pour le compte de Μ. I. K. L., un grand brun qui a des moustaches. — Sortez, malhonnête. — Excusez, Ma
dame , mais je suis payé pour ça, il faut que l’ouvrage se fasse, et j’en ai encore une trentaine à expédier dans le quartier. » Ne vous récriez pas, lecteur incrédule, le fait est vrai, et, pour être adopté généralement, il ne lui manque plus que la sanction de l’usage. Voulez-vous quelque autre excentricité de ce jour de l’an si peu excentrique : on lit quelque part sur les boulevards, et partout dans les journaux, sous cette rubrique engageante : « Etrenncs utiles,
dentiers inaltérables, à tous prix. » Ailleurs, et sous la même rubrique : « Pilules digestives (se défier du chocolat du voisin). » Foin de ces étrennes avariées, et, puisque la circon
stance l exige, parlons de l’étrenne économique, dont l’invention remonte au premier mari, et dont il porta la peine. Si notre mère Eve mordit à la pomme du serpent, c’est qu’Adam lésinait trop sur la toilette. Ils ne sont pas mieux avisés que lui, ces maris qui friponnent les étrennes de leurs femmes en substituant à la surprise attendue et même annoncée, cette autre surprise en sens contraire : une paire de rideaux ou de candélabres. Des présomptueux, poussant le sans-gêne beau
coup plus loin, osent dire en riant à leur moitié irréprochable: «Je te donne ce que tu m’as pris dans l’année. » Ils ou
blient que les petit s cadeaux, qui entretiennent l’amitié, sont le thermomètre de l’amour, et qu’un adorateur va profiter du changement de température conjugale pour dessiner sa po
sition. Les femmes à étrennes jugent très-bien de ce que 1 adorateur attend d’après ce qu’il donne. Le bonbon, offert dans ses guipures les plus pimpantes, n’a pas de significa
tion précise. Mais le cadeau utile est lin commencement de déclaration, que madame accepte à son cœur défendant, et qu’elle reconnaît en cachette par l’étrenne d’un porte-cigarre ou de boutons de chemise. Au delà de ce troc inno


cent, les cadeaux mutuels deviennent également compro


mettant pour la bourse de l’un et la renommée de l’autre.· « Dis-moi ce qu’il te donne, demandait une de ces dames à son amie intime, et je te dirai ce que tu lui es. » Quant aux adorateurs devenus les adorés, on en voit qui, pour échap


per aux obligations de ce jour dépensier, utilisent le pro


cédé à la Richelieu : « Je sais tout, Madame, vous ne me reverrez plus. » (La suite au jour de l’an de l’année prochaine).
Ainsi la ville se pare, les promenades s’illuminent en attendant les promeneurs, et les magasins s’encombrent de marchandises en attendant ies acheteurs. Aujourd’hui même Paris est déjà sens dessus dessous, et ce n’est plus unique
ment pour des cornets de bonbons et des sabres de bois; une émotion légitime et sainte agite tous les cœurs : on va revoir, on va fêter les vainqueurs de Sébastopol, el l’on compte bien que celte fête nationale aura plusieurs lendemains. il est question d’un banquet en l’honneur dece s bra
ves dans les bâtiments de l’Exposition; ensuite l’Hôtel de ville leur ouvrirait ses salons, et certes ils ne sauraient être mieux meublés de gloire que celte nuit-là. On parle enfin d’un appel fait aux poêles sous forme de concours pour chanter ces héros si dignes d’inspirer un Homère, lequel Homère,
s’il se trouve, recevra de la munificence du gouvernement une couronne de lauriers du prix de vingt mille francs. La civilisation arrachée à l’étreinte barbare, el l’épée de la France tranchant ce nœud gordien à Sébastopol, l’épopée est vaste et brûlante. Mais où es! le poète qui en dégagera la poésie ? Supposez que ce poète existe, je crains bien pour lui et pour tout le monde que le prix, quelque encourageant qu’en soit le chiffre, ajoute peu de chose à son enthou
siasme. «Si Corneille.eût existé de mon temps, disait un grand homme, je l’aurais fait prince. » Il est vrai que Cor
neille eût été bien capable de refuser. Raphaël mort, le pape Léon X regretta de ne l’avoir pas fait cardinal, et c’eût été assurément le plus grand honneur que le cardinalat pût recevoir.
L’année, du reste, finit assez, mal pour les nouvellistes indigènes, lesquels, vu le calme parfait qui règne dans leur monde, en sont réduits à chercher pâture dans l’autre. Ainsi M ‘ Rachel est saine et sauve; on ne sait quel méchant puff l’avait mise à mort, ce qui n’est jamais dange
reux. C’est seulement la bonne santé de son talent qi i se trouve un peu dérangée; l’air de l’Amérique ne lui convient pas, et puis les recettes baissent. L’admiration ne liât plus monnaie, sur le passage de la grande tragédienne; les Lankees ont l’imaginative ailleurs, comme dil M “ Jourdain; ils n ont plus d’oreilles que pour la musique. Leuridoie présen
tement, c’est M ,c de Lagrange, une excellente cantatrice et une dame du meilleur monde, ce qui la met à l’abri du ri
dicule des ovations à la Barnum. Un autre bruit venu d’ontre-mer, c’est l’arrivée à Buenos-Ayres de l’incomparable Thalberg avec son instrument en sautoir, comme les anciens ménestrels. La multitude répandue sur le rivage l’at
tend avec des cris d’impatience ; puis tout à coup sa grande voix se déchaîne comme la tempête : «C’est qu’on vient d’a­
percevoir l’artiste, » ajoute notre correspondant. Et les hommes ne se possèdent plus, et les femmes s’évauouissènl : on n’est pas sans inquiétude sur les suites du premier con
cert, si toutefois l’enthousiasme permet au grand pianiste de jouer du piano. L’aventure d’Orphée mis en pièces par des fanatiques est un précèdent qui fait trembler, Ainsi Thalberg pourrait bien être perdu pour l’Europe : jamais Buenos-Ayres ne voudra le lâcher. V moins que, pour se soustraire à ces douces violences américaines, il n’imite l’exemple de. Fanny Elssler : la belle danseuse n’ayant pu s’évader de la Nouvelle-Orléans qu’en se précipitant dans la mer, comme ie fils d’Ulysse fuyant file de Calypso.
Paris, qui lil à ses frais là réputation de tant d’artistes, n’a plus apparemment le moyen de les payer. Il n’a pas su, il n’a pus pu retenir Jenny Lind, qui charme en ce moment le dilettantisme britannique moyennant 12,000 fr. par soi
rée, et en même temps M“e Cruvelli lui échappe par une dernière fugue. La belle cantatrice aura oublié que l’Opéra comptait sur elle pour la représentation de l’autre diman
che; il n’y a que le mariage pour donner de ces grandes dislractioits. Mais nous n’avons pas le droit de me lire aussi longtemps cette pauvre semaine en musique, et tout autre bruit de ville serait bien mieux noire affaire. Or M la prin
cesse Czartoriska veut bien nous inviter â entretenir nos lecteurs de la vente de bienfaisance qui aura lieu dans son hôtel, du 26 au 31 décembre, au profit des Polonais mala
des et indigents. Outre un assortiment très-varié de brode
ries, tableaux, cristaux, porcelaines, bijoux et autres objets d’élrennes, on y trouvera beaucoup d’articles de fantaisie envoyés de la Chine el du Levant. Nul n’ignore que M ” Czartoriska est la providence de la Pologne exilée, et on ne sau
rait résister à l’appel de la providence, surtout quand il s’ag t d’une belle et bonne œuvre. L’exemple donné par l’il
lustre princesse mériterait d’avoir des imitateurs : en aurat-il? La charité trouve plus commode apparemment de s’exercer par des bals, au risque de se voir enlever, sous prétexte de frais, ie plus clair de la recette , sans compter qu’on s’épargne ainsi les criailleries du commerce qui pré
tend qu’on va sur ses brisées. Est-ce que les dames les plus distinguées par le rang et la fortune ne s’empresseraient plus, comme autrefois, de se faire les pourvoyeuses de ces petits bazars, et même d’en être les surveillantes et de pousser à la vente? Leur présence ne suffi
rait-elle pas pour donner une valeur inappréciable aux menus objets qui s’y débitent. Tel de ces colifichets payé très-cher, grâce à sa marque de fabrique féminine, pour


rait faire vivre plusieurs familles. Seulement il faudrait


s’interdire les fraudes pieuses, et tromper le moins possible l’acquéreur sur la véritable origine de son emplette. Tels el tels, croyant posséder un échantillon du savoir-faire de
leur divinité, n’ont-ils pas découvert un beau jour qu’ils avaient payé au poids de l’or l’œuvre sans nom de quelque vieille Arachné qui lisse sa toile dans un hospice? Jamais d’ailleurs la charité féminine ne fut plus active, et c’est mer
veille de voir avec quelle ardeur tant de beaux anges en robes de dentelle se disputent le patronage des orphelins. Un homme de bien, poêle illustre, Adam Mickiewitch, meurt dernièrement â Paris, laissant plusieurs orphelins, et en quelques heures une souscription, ouverte dans la so
ciété polonaise sous les auspices de la princesse Czartoriska, rend une fortune à ces enfants et leur assure plusieurs mères.
Puisqu’on vous parle misère et bienfaisance pour vos étrennes, voici encore une historiette qui ne manque pas de moralité. Dernièrement une dame, qui à la noblesse du sang joint celle du cœur, visitait une pauvre vieille dans son tau
dis, et, s’apercevant que la couche était bien dure pour une infirme, elle fit venir un lil très-confortable; mais la pauvre malade refusa de l’occuper; ne voulant abandonner l’i­
gnoble paillasse qu’avec la vie. Selon l’usage ordinaire à quelques mendiants mal nippés, mais très-bien nantis, la vieille avait enfoui là ses épargnes, consistant en plusieurs poignées de rouleaux d’or. Cette découverte esl vulgaire, mais la suite l’est un peu moins. Vérification faite de la personne,’il se trouva que l’enfouisseuse, dérisoirement sur
nommée la marquise par ses anciens camarades de la bol te et du chiffon, avait eu plus anciennement une autre posi
tion sociale : le demi-monde el les camélias du temps de l’Empire l’avaient comptée parmi leurs célébrités ies plus
fringantes. Eile figura longtemps dans ces superbes festins dont M. Véron a si pertinemment refait la carte dans son dernier roman. On se demande parfois ce que peuvent de
venir ces créatures, quand, par hasard, il ne leur arrrive pas d’avoir très-jeunes la destinée d’une Marguerite Gau
tier. Ce qu’elles deviennent? vous le voyez bien : après s’être perdues dans le désordre et les prodigalités, elles finissent par se retrouver sur un grabat et dans l avarice.
A propos du théâtre, peu de chose et même rien. S’il vous souvient, par hasard, de notre causerie de la semaine pas
sée, il y était question très-sommairement de. la légende de Borgia, que. deux jeunes auteurs ont arrangée à l’usage de ΓAmbigu et à son plus grand bénéfice; mais nous n’ajou
terons rien à ce sommaire, le temps et les feuilletons ayant marché si vite que ce réchauffé ne serait plus lisible. Bornons-nous donc à constater que, Shakespeare aidant et solli
cités par l’exemple de Victor Hugo, MVI. Crisal ulii et Devicque ont fait une pièce très-dramatique et parfaitement horrible. Pendant ces cinq actes, d’une longueur raisonnable, César Borgia aiguise ses poignards et distille ses poi
sons avec une audace diabolique et des raffinements de scé
lératesse qui tiennent le spectateur sur le qui-vive jusqu’au bout. C’est un brillant début, et un premier succès qui en promet d’autres.
Aujourd’hui la disette et demain l’abondance. Pour nos étrennes, les affiches théâtrales vont faire pièce neuve, Sa Majesté le Million, Son Altesse le Capital, Sa Seigneurie i’Hcu clc cent sous, voilà ce qui va paraître, c’est l’âge do
For qui refleurit, le demi-monde qui cède la place au monde de la Bourse et du Crédit mobilier. La Porte-Saint-Martin
monte TOreslié, tragédie grecque de deux auteurs trèsconnus : Eschyle et M. Alexandre Dumas. Le Gymnase pré
pare une nouvelle fantaisie de Georges Sand, et le Théâtre- Français se fait prier pour accepter une comédie de la même
main. Quatre boules noires voulaient absolument fermer la maison de Molière à l’auteur du Çhampi. Ces récalcitrants ont oublié qu’un grand talent ne pjeut avoir d’autre juge
que le public, et que lui seul a le droit de toucher à sa gloire. Enfin si je vous dis encore que M. Sarnson. chargé de professer la littérature dramatique aux élèves du Con
servatoire, vient d’ouvrir ce cours avec beaucoup d’éclat, i! me semble que j’aurai tout dit.
Philippe Busoni.


De la statue équestre de François 1er




DANS LA GRANDE COUR DU LOUVRE.


Convenait-il de placer une statue équestre au centre de la cour carrée du Louvre ? A noire avis il n’v avait à cette question qu’une réponse négative à faire: Peut-être, au point de vue des communications, n’est-il nas rationnel de placer un obstacle juste au point d’entrecroisement où
viennent se confondre les quatre lignes d’une circulation active. On a opposé, dans le temps, une pareille objection à l’emplacement actuel de l’obélisque au milieu de la pla :e de la Concordé..Celle objection, pour un espace ouvert aussi
vaste, était peu sérieuse; elle aurait plus’ de valeur pour un espace fermé et restreint comme celui de la cour du Louvre, Mais nous admettons volontiers qu’on n’y ail atta
ché aucune importance ; nous trouvons dés motifs plus graves d’exclusion dans les convenances artistiques d’appro
priation. Les quatre façades intérieures de la cour du Louvre, avec leurs ordonnances variées, le luxe de leurs sculptures et de leur ornementation, avec les nombreuses statues qui les décorent, présentent, quelles que soient les critiques qu on peut leur adresser, un ensemble d’une ri
chesse merveilleuse, dont l’abondance, bien qu’excessive,
est d’un goût harmonieux. C’est un beau spectacle que cette richesse architecturale, dont on se sent là enveloppé de loules parts. Cetle œuvre si compliquée de détails, si éla
borée, forme un tout complet et qui se suffit à lui-même ;
les regards qu’elle attire sont assez occupés à contempler celte universelle élégance. Pourquoi venir détourner l’at
tention par un objet d’une faible importance relative , mais qui par sa situation centrale el isolée prendra lout à coup une valeur exagérée aux dépens de son magnifique entou
rage? Les quatre façades du Louvre forment plus qu’une belle bordure. Ce cadre si riche est le tableau lui-même ; il n’y a besoin de rien mettre dedans. — Cependant, deman
dera-t-on, le sol, le pavé de la cour devait-il rester nu? Non, sans doute, et la forme quadrangulaire de la cour, ainsi que les quatre directions opposées de circulation, in
diquaient les divisions naturelles à y établir. Cetle cour de
vait être partagée en quatre carrés ou octogones ; comme sont les beaux cloîtres en Italie. Ces carrés, pour reposer la vue, auraient pu être semés en gazon ; l’architecture et la sculpture n’avaient à intervenir là que pour les bordures d’encadrement, qui, du reste, devaient être d’un effet sobre et léger, et peut-être pour quelques statues basses à intro
duire dans les milieux. Mais cette disposition eut contrarié notre impatience française : outre les directions se coupant à angles droits, la traversée de cette cour se fait aussi sui
vant des diagonales, et la foule n’eût pas volontiers sacrifié les aises de ces diagonales à toutes les bonnes raisons qu’on aurait pu lui donner pour justifier l’établissement des car
rés. Le désir de satisfaire à ces exigences entraîna, dans le temps, l’architecte du Louvre à découper à grands frais le sol de la cour eu une série de figures trigonomélriques. Toute celle géodésie a disparu, et la foule est libre aujour
d’hui de circuler comme bon lui semble. Soil! mais ce n’est pas davantage une raison pour élever une statue équestre au centre de la cour du Louvre.
Lne statue équestre est bien placée soit en avant d’un monument éte-ndu, soil sur un terre-plein libre, comme est la statue d’Henri IV sur le Pont-Neuf, soit dans un espace fermé de trois côtés seulement , comme est celle de Marc- Aurèl,e sur la place du Capitole, à Rome; parce que, dans ces trois cas, le côté postérieur, le moins favorable des côtés sous lesquels elle peut être aperçue, est sacrifié. Elle est moins avantageusement dans une grande place tout entou
rée de bâtiments, parce que celle difficulté particulière
d’aspect ne peut pas y être évitée ; mais là cependant, par suite de la largeur des voies qui aboutissent, l’obliquité des angles sous lesquels il est permis de l’apercevoir sauve en partie la difficulté. Mais, dans un espace complètement ièrmé comme la cour du Louvre, ou l’on ne pénètre que
par des entrées étroites, c’est une nécessité inévitable qu’une statue équestre soit orientée sur te prolongement d’une· des deux lignes principales de circulation ; c’est-à- dire dans ses eondilions d’aspect les plus mauvaises. Ainsi la statue de François l regarde, comme cela devait être, dans la direction des Tuileries ; or, si l’on arrive dans la cour du Louvre par la place du Carrousel, ce qui s’offre à la vue, c’est un groupe altéré par le raccourci et la super
position d’une tête de cavalier sur une lêle de cheval ; si l’on arrive par la direction opposée, par l’entrée d’honneur sous la colonnade, si l’on ouvre a deux battants la grande porte triomphale... c’esl bien pis.encore, ce qui s’offre a votre contemplation, ce sont le dos et les reins du cavalier, la croupe et la queue du cheval. N’est-ce pas quelque chose
de bizarre, en vérité, que les deux plus mauvais côtés de la statue équestre soient justement pris pourpoints de mire principaux de la foule ; etcela fatalement, sans remède possible !
Outre l inconvénient fatal que mus venons.de signaler,


outre celui d’être un obstacle jeté au centre, d’une circula