L’ILLUSTRATION,
JOURNAL UNIVERSEL
Ab. pour Paris, 5 mois, 8 fr. —6mois,16 fr. — Un an, 50 fr. Prix de chaque №, 75 c— La collection mensuelle, br., 2 fr. 75.
№ 241. Vol. X. — SAMEDI 9 OCTOBRE 1847.
Bureaux : rue Richelieu, 60.
sommaire.
Histoire de la semaine. Citadelle de Ferrare. — Théâtres. — Courrier de Paris. Cérémonie funèbre de Saint-Leu-Taverny.— Saint-Mandrier. Vue de l’hôpital de Saint-Mandrier ; une aile des façades de Saint-Mandrier, prise de la galerie du fond; chapelle de Saint-Mandrier. — La Casdami. VI. NOuvelle, par M. O.-N. (Suite.) — IcoNOgraphie des races humaines. Premier article.
Hottentots du Cap; nègre mozambique; Cafre Ama-Kosah; Papou de la NOuvelle-Guinée ; Kamtchadale ; Palagon; Edjour-Galla; NOuveau-Zélandais ; Américain du NOrd; ChiNOis ; fantassin arabe; lord
Byron. — Chronique musicale. — Les ouvriers de Parts. Etude de mœurs. II. Le maçon. Le manœuvre et le compagNOn ; la
pose du bouquet. — Premiers et derniers. Scènes de mœurs, par M. Henri Valentin. Quatre Gravures.—Bulletin bibliographique. — AnNOnces. — Eclipse annulaire du soleil. Une Gravure. — Principales publications de la semaine. — Rébus.
CHANGEMENTS D’ADRESSE. —Les abonnés qui désirent changer la destination de leur journal sont priés de vouloir bien prévenir l’administration au plus tard le jeud qui précède la mise en vente deg numéros.
Ab- pour les dép. — 3 mois, 9 fr. — 6 mois, 17 fr. — Un an, 32 fr, Ab. pour l’Étranger. — 10 — 20 — W.
Histoire de la Semaine.
Il n’y a pas eu cette semaine de ces événements qui absorbent l’attention générale. A Paris, la solennité des obsèques de M. le maréchal duc de Reggio ; dans les départements, les banquets réformistes, qui semblent entreprendre le tour de France ; en Algérie, un rudiment d’organisation municipale : voilà les faits qui ont défrayé les conversations.
La crise financière a bien aussi fait parler d’elle. Du reste, en présence des malheurs qui affligent, qui écrasent toutes le,s places anglaises, qui commencent à peser sur les plus fortes maisons dë New-York, (fui ont fait éprouver de si rudes
secousses à la place de Vienne, à celle de Francfort et de Hambourg, ce qu’il y a de remarquable, ce n’est pas que le commerce français ait compté quelques sinistres, mais bien plutôt qu’il en ait éprouvé aussi peu. Cela prouve que l’in
dustrie particulière n’avait pas cnez NOus de fautes graves et NOmbreuses à se reprocher, et que NOs embarras viennent uniquement de l’irréflexion et de l entraînement avec lequel les ressources nationales ont été engagées dans une profu
La citadelle de Ferrare.