qui trouveraient ce régime peu réconfortant, la perspective lointaine et fuyante de viande de boucherie, qui, pour le quart d’heure, détalait par monts et par vaux au galop de ses quatre jambes, de gibier qui s’envolait à tire d’ailes et de poisson qui nageait entre deux eaux ou venait faire la cul
bute à là surface des lacs ou des rivières. Ii y avait loin de là aux pâtés de foies gras, aux poudings de cabinet, aux petits fours, aux fromages glacés à la vanille, au vin de Cham
pagne et au curaçao de Hollande ! Mais Dieu nous avait donné un appétit de requin et une (ine gueule; il savait bien que nous finirions un jour ou un autre par avoir bonne cuisine. — S’il avait peu soigné l’article de notre nourriture, il soi
gna encore moins celui de notre entretien. Il avait donné des écailles éblouissantes aux poissons, un plumage nuancé de mille, couleurs aux oiseaux, un poil épais aux autres ani
maux, et à nous rien, pas même une queue pour chasser les mouches. Il fallut se vêtir pendant quelque temps de feuilles de latanier ou de roseau (la feuiilè de vigne des sculpteurs est sans doute un reste de ce costume primitif). Mais nous étions imitateurs comme les singes et plus grands pillards qu’eux. nous nous mîmes à prendre aux oiseaux leurs plu
mes et leur peau feutrée aux quadrupèdes, et, ainsi accoutrés à leu . dépens, nous devînmes les plus drôles de bêtes du monde. Il est vrai de reconnaître que nous sommes certainement plus déguisés et par conséquent plus ridicules en
core aujourd’hui; mais ce que nous avons perdu en naturel,
nous l’avons gagné en propreté. 4. travers tous les progrès de la mode, nos élégantes n’en sont pas moins comparables aux femmes de sauvages pour la recherche des brimborions, le goût des bariolures et la bizarrerie de certaines habitudes :
elles se trouent les oreilles, si elles ne se percent pas les cartilages du nez ; elles se serrent la taille et se comprimen t les pieds, si elles ne s’écrasent pas le nez ou ne se dépriment pas le front ; elles se peignent le visage avec du carmin, si elles ne se le barbouillent pas avec du cinabre ou du rocou. Du reste, elles se parent, ainsi que leurs grand’s-rnères, de
fleurs, de plumes, de coquillages et de verroteries. Celles- ci se vêtaient avec des feuilles végétales et des toisons animales. Ce sont les mêmes toisons, c’est du lin et du coton qui constituent encore aujourd’hui la matière et le fond des habille
ments ; une seule chose y a été ajoutée : à savoir un fil qui est le produit des vers. Le travail, la main d œuvre a méta
morphosé toutes ces matières. C’est autour d’elles que se groupe la majeure partie de l’industrie des nations, C’est pour les fabriquer que s’épuisent de travail tant de cités po
puleuses, et qu’une portion de l’humanité est enrégimentée en cohortes nombreuses livrées à mille professions différen
tes, mais poursuivant toutes un même but, celui d’emrnaiilotter la poupée humaine.
Cela n’a pas toujours lieu pour sa plus grande commodité et sa plus grande joie, si cela vise souvent à sa plus grande gloire. Les corsets, les ceintures, les boucles, les agrafes, les jarretières, les sous-pieds, les bretelles, les cols et les
cravates, polir ne parler que du costume moderne européen,
sont de rudes entraves à la liberté individuelle, et, loin d’en murmurer, on se précipite avec amour dans cette servitude. Le corps mis à la gêne se façonne de bonne heure à porter ses fers, et ce qu’il arrive à supporter dans ce genre est in
croyable. Mieux on est habillé et moins on est apte àrespirer, à digérer, à courir, à se tenir debout ou à s’asseoir. Les malaises, les incommodités, les souffrances mêmes imposées par les exigences de la toilette forment un très-long chapitre dans l’histoire des petites misères de la vie, et elles pour
raient même trouver place dans l’histoire des grandes par les déplorables résultats qu’elles ont souvent sur la santé. Pour ne parler que d’une seule circonstance, Dieu sait ce que la prétention d’avoir la taille fine a pu coûter à l’hu
manité. Car il en est souvent aujourd’hui comme aux pre
miers temps du monde : quand Eve se passe une fantaisie, ce sont ses enfants qui la payent.
Si nos vêtements né sont pas aussi favorables qu’ils pourraient l’être au développement du corps et à la liberté de Ses mouvements, sont-ils conformes du moins au climat dans
lequel nous vivons ? Cette seconde condition n’est guère mieux observée que l’autre. En voyant quelquefois nos femmes si légèrement vêtues, les bras nus et le sein découvert, on se
rait tenté de croire qu’elles habitent la zone torride. En considérant la finesse de leurs chaussures et l’extrême lon
gueur de leurs robes, on serait persuadé que la terre, dans ce pays, est dans un état habituel de siccité. Et on sait com
bien il s’en faut malheureusement qu’il en soit ainsi. L’article de la coiffure appellerait aussi à lui seul l’examen sé
rieux de quelque philosophe, et il y aurait lieu d’écrire un intéressant chapitre des chapeaux, considérés dans leurs rapports avec les climats et au point de vue de la dignité hu
maine. Mais pourquoi insister sur le manque de logique évi
dent qui existe dans notre manière de nous habiller, soit sous le rapport de la commodité, soit sous celui de l’observa
tion des climats et de l’hygiène? On ie sait, mais on ne s’en inquiète guère, parce que, dans la toilette, le nécessaire, l’u­ tile est devenu la partie secondaire ; c’est l’agréable qui est la chose principale. La femme a commencé par s’habiller avec une simple feuille de figuier : elle allait au plus pressé ; elle a fini par porter des robes à queue. On songe à se parer bien
plus qu’à se vêtir. La toilette est devenue un art. Elle devrait rentrer dans l’esthétique, et avoir pour but de se modeler sur la belle délinéation du corps, de n’être que l’enveloppe extérieure de ses formes, d’en suivre les contours avec sou
plesse et de laisser à la liberté des mouvements toute leur grâce native. Mais à voir ce que la fantaisie en a fait, on di
rait qu’elle tâche autant que possible de sortir, non-seulement des conditions)du beau, mais encore de celles du natu
rel et du sens commun. L’homme (et par là j’entends l’homme et ia femme, selon cette figure de rhétorique qui veut que la plus belle moitié du genre humain soit sous-entendue quand on nomme la plus laide) semble, dans la manière de se vêlir, mettre de l’acharnement à se déformer ou à se rendre ridicule à plaisir. Ou dirait que les deux sexes, prenant en pitié
les proportions naturelles du corps dessinées par l’éternel architecte, veulent tailler leurs membres sur un nouveau pa
tron. Chacun cherche à occuper dans l’espace plus de place ou moins de place que la nature ne lui en a accordé. Chez ie sauvageon remarque déjà le besoin d’agrandir sa figure au moyen de coiffures élevées; chez l’homme civilisé, l’altération des formes devient une science d’une application assi
due. Croyant obéir au goût et n’obéissant eu réalité qu’aux plus monstrueux caprices, on comprime, on rapetisse d’un
côté; on distend, on renfle, on boursoufle de l’autre; on met des éminences où il y a des enfoncements ; où il y a le plein on veut faire le vide ; on remonte une chose, on en redes
cend une autre, enfin on semble s’étudier à ne rien laisser à sa place.
.......Vitæ disconvenu ordine toto, Diruil, ædiiicat, mutât quadrata rotundis.
Enfin, à force de transformations, le vêtement arrive à être une parodie grotesque du corps, et quelque Saturnien dé
barqué par hasard sur notre planète serait exposé aux plus étranges bévues s’il voulait juger la forme réelle de notre espèce d’après la forme extérieure de ses costumes élégants.
Cependant, au milieu de tous ces travers, une chose nou
velle a été inaugurée dans le monde, la Mode! c’est à-dire quelque chose de fugitif comme un brouillard du matin, de variable comme le vent, et ce je ne sais quoi est devenu une puissance redoutable que les plus mâles courages osent à peine braver. L’Europe tout entière sè soumet à ses lois, c’est-à- dire quelques milliers d’individus s’empressent avec amour
d’adopter la livrée du jour; je ne parle pas de deux cent et tant de millions de rustres ou de ibons bourgeois qui se cou
vrent et ne se vêtent pas, se vêtent et ne s’habillent pas, ou bien s’habillent mais ne savent pas se mettre ; il ne peut pas être question d’eux, et ils n’ont rien à voir dans l’art sublime de la toilette : cet art ne concerne que le petit nombre des heureux, the happy few, celte fine fleur de la société qui, dans chaque nation, est l’expression élégante de la civilisa
tion. Pour ce qui concerne les modes, aussi bien que pour des objets plus importants, c’est une imperceptible minorité qui gouverne le monde. Celui-ci les reçoit de l’Europe, i’Europe les reçoit de la France, la France les reçoit de Paris, Paris les reçoit d’un de ses quartiers, la chaussée d’Antin ;
et si l’on se’ transporte dans ce quartier pour découvrir les modes à leur source, on y verra que quelques courtisanes, quelques dandys oisifs, tel est l’aréopage qui élabore et promulgue cette législation bouffonne, aussitôt obéie que promulguée !
A Paris donc l’empire de la mode ! empire incontestable, incontesté! Ici nous n’avons rien à redouter des rivalités jalouses des autres peuples. Presque tous à l’envi proclament noire suprématie et s’y soumettent. nous avons failli, au commencement de ce siècle, devenir par l’épée les maîtres du monde. La besogne était déjà assez avancée. nous nous flattons encore de le conquérir par les idées, et nous avons, pour exprimer cette espérance, une phrase stéréotypée : « La révolution française fera le tour du globe.» nous n’espérons pas moins de le gagner par l’universalité de notre langue.
Je souhaite bien vivement pour nous, et surtout pour le monde, qu’il participe avec nous à la liberté politique et à la clarté du langage. Mais ii y a une chose à laquelle je suis disposé à croire encore plus facilement qu’à l’universalité de notre langue et de nos institutions, c’est à celle de l’univer
salité de nos habits, de nos gilets et de nos cravates. Quelle que soit encore chez les peuples la grande variété des costu
mes et quoi qu’il puisse en coûter à leur esprit national, tôt ou tard’ ils subiront cette inévitable domination. Tous les hommes, dans un temps donné, couvriront leurs chefs avec cette chose incommode, inélégante et grotesque qu’on nomme un chapeau, fourrerontleurs jambes dans cette double gaîne in
forme qu’on appelle un pantalon et passeront leurs bras, sous prétexte de se vêtir, dans les manches de ce vêtement si mal imaginé, qui vous déshabille complètement par devant et vous habille surabondamment par derrière et qu’on appelle un habit. Quand ces faits seront accomplis, la fin du monde sera proche sans doute; car Dieu, qui avait fait l’homme à son image, ou avait eu l’extrême condescendance de lé lui dire,
le punira dans sa colère pour avoir travesti cette glorieuse ressemblance d’une façon si impertinente. nous n’en sommes pas encore là, certainement ! Parmi les races du globe, jaune,
rouge, noire et même blanche, il y a une immense majorité d’individus qui n’ont jamais mis sur leur front de chapeau de castor, de poil de lapin ou de pluche de soie, qui ignorent encore les douceurs du pantalon à sous-pieds et se trouvent parfaitement honorables en vertu des habits qu’ils portent et souvent même en vertu de ceux qu’ils.ne portent pas. Mais la contagion de ce costume antipittoresqüe gagne de proche
en proche. A l’exemple des grandes épidémies, elle franchit les plus grandes distances; chaque jour de nombreux navi
rt s se chargent de caisses et de ballots destinés à répandre l’infection sur les plus lointains rivages. Il n’y a pour ainsi dire pas de point où on ne trouve quelques traces ra du moins quelques essais grossiers de toilette française. Fût-ce au mi
lieu des contrées les plus sauvages de l’Amérique du nord,
aux pieds des.montagnes Rocheuses, on retrouverait quelques échantillons de nos modes importés par nos amis les Io-Ways.
Tel souverain d’une des îles de la mer Pacifique, pour ses jours de grande magnificence, s’habille, faute de mieux, avec un chapeau rond et une paire de bottes. Cegoût des sauvages pour le costume européen en général s’explique facile
ment. Mais ce qui est plus extraordinaire, c’est de voir, sans aller chercher si loin, et en prenant nos exemples à nos por
tes, le goût pour les modes parisiennes s’infiltrer partout, et de maladroites imitations se substituer au costume national,
quelque élégant, quelque pittoresque qu’il soit. Allez sur les bords du lac de Genève, avancez-vous dans une partie de la Suisse, plus retirée, sur ceux du lac de Brientz, pénétrez plus avant encore, dans les Grisons, dans l’Engadine, dans le Tyrol, et vous verrez le costume national ou complètement
disparu ou plus ou moins défaillant et détrôné par son banal compétiteur. Parcourez en artistes l’Italie, et jusqu’au sein des îles où s’était réfugiée l’originalité persistante des an
ciennes traditions, vous retrouverez le mélange adultérin des deux costumes en présence, et, sans être grand prophète,
vous pourrez dire aux peintres et aux dessinateurs : « Hâtezvous, car chaque jour l’antique parure dépérit, et inévitable
ment ceci tuera cela. » Mais ramenons nos regards sur nousmêmes, et de toutes parts en France les mêmes symptômes d’assimilation se manifesteront à nous. Si ia statistique s’oc
cupait de ces sortes de choses, il n’y a pas d’année qu’elle n’eût à enregistrer la mortalité croissante des bérets et des
capuiets des Pyrénées, des chapeaux des Mâconnaises et des bonnets élancés des Cauchoises... Ce sont les jeunes filles principalement qui se sont laissé gagner à là contagion ré
volutionnaire. Aussi est-il de jour en jour plus difficile d’ob
tenir de celles qui viennent se placer comme bonnes à Paris qu’elles gardent leur bonnet à la paysanne. Il est très-rare que les maîtresses puissent vaincre leurs répugnances à cet égard. De gentilles villageoises qu’elles étaient, elles deviennent de déplaisantes filles gauchement endimanchées ; honteuses du bon air qu’elles pourraient avoir, elles se pavanent dans le bon air qu’elles n’ont pas.
Cet empressement général, ce consentement presque universel à adopter un même costume, devraient être l’indice d’une véritable supériorité de ce costume sur tous ceux qu’on dé
laisse pour lui. C’est le contraire qui a lieu. Parmi tous ces costumes riches, nobles, élégants, pittoresques qui s’offraient à sou choix, l’humanité semble décidée à adopter le plus étriqué, le plus laid et le plus maussade. Que l ien ne la gêne, et grand bien lui en advienne ! nous ne lui ferons pas un procès pour cela ; mais nous accorderons quelques instants notre attention à ce fait à cause de sa généralité même. Ce serait probablement une peine tout à fait perdue de discuter le costume au point de vue philosophique, mais il peut être curieux d’esquisser son histoire. Quelque futile que soit ia mode dans son éternelle mobilité, elle a cependant sa signi
fication au point de vue historique ; car elle est, à un certain degré, le reflet de la société, et elle offre de l’intérêt comme maniiestation des tendances intellectuelles et morales d’une époque. Il fallait quelque chose de plus que la démoralisa
tion du temps du Régent ou de Louis XV pour encourager la diaphaniité trop mythologique du coslume de certaines belles ; il fallait encore une société mal assise et venant de traverser les plus grandes commotions et tous les excès du désordre ; il fallait l’époque du Directoire. Pour citer un autre exemple : n’y a-t-il pas entre le costùnie de cour de no
tre époque et celui d’il y a deux cents ans toute la différence qui existe entre une monarchie bourgeoise et l orgueilleuse monarchie de Louis XIV?Partout un lien imperceptible rattache aux faits importants les faits secondaires et insignifiants en apparence. A ce titre, les esquisses rapides et né
cessairement incomplètes que nous allons teiUu présentent
peut-être un intérêt autre que celui de là simple revue de dessins de modes destinés à satisfaire üne vaille curiosité. Elles sont encore de l’histoire au petit pied.
A. J. D. Le convoi du pauvre.
SOUVENIR D’ÉTUDIANT.
J’achevais ma troisième année de droit, ët il s’agissait de pâsser ma thèse, grande affaire pour tous les étudiants, mais pour iiiôi surtout qui voyais venir cette solennité scolasti
que avec les craintes puériles de la timidité. L’aspect seul de la salle des thèses, la position isolée du candidat, l’héipicycle de savants professeurs placés.derrière lui, enfin l’auditoire thème, humblement composé pourtant de quelques épiciers retirés du quartifer Saint Jacques, bu d’étu
diants qui viennent là pour s’habituer àti iëü; tout cela m’effrayait. Je sentais donc le besoin de chercher de la con
fiance où on là trouve lé plus sûrement, dans la force, et pensant que mes simples lumières ne me suffiraient pas pour bien travailler, je crus devoir prendre un répétiteur : c’est un savant qui enseigne le droit à tant le cachet. Je m’adressai d abord pour trouver ce que je voulais aux murs de l’é­
cole de droit, qui, comme tous ceux de Paris, répondent ie plus souvent aux demandes qu’on leur fait, et effectivement, sur l’une de ces colonnes qui forment le grotesque fronton de l’édifice et font une si triste figure en face des sublimes colonnes du Panthéon , je lus ces mots écrits à la main sur du papier blanc : a M. K....... ancien professeur de droit et
d’histoirë à Strasbourg, donne des répétitions chez lui, rue
de. Mousson, no 10, près le marché Saint Jean. » Le quartier me convenait; quant à la capacité du répétiteur, je lie m’en inquiétais guère, car un ancien professeur de droit et d’his
toire à Strasbourg devait en savoir assez pour moi, pauvre étudiant. Je me dirigeai donc immédiatement vers la rue de Mousson, et d’abotd j’eus beaucoup de peine à la trouver. Les cochers de fiacre, les commissionnaires — ces hommes érudits dans la science desrues, — ne connaissaient pas la rue de Mousson. Enfin, à force de chercher dans ces rues étroites
et tortueuses qui entourent le marché Saint-Jean, je crus, apercevoir sur une étiquette altérée par le temps la dernière syllabe : Son, mais elle était précédée de ces mots : cul de
sac. — Cette voie, qui autrefois avait pu s’appeler rue, était descendue à l’état, de cul-de-sac, au moyen d’une grille pla ­
cée au milieu pour la fermer. — J’attribuai l’inexactitude de l’adresse à un petit motif d’amour-propre chez ie professeur,
personne n’aimant à convenir qu’il demeure dans un cul-desac. _ Je cherchai le numéro 10, et après l’avoir trouvé, je
m’arrêtai un instant dans la petite cour. C’était une de ces maisons qui ont, comme la loge du portier, une odeur à elles, mais plus caractérisée et plus énergiquement mauvaise, dont je n’ai pas besoin d’indiquer tous les éléments.
Aux fenêtres étaient suspendues des gaenilles
était raboteux, inégal et couvert d’une boue f’éme