vlais quelle honte aux François qui contemplant ces majfies de batimens fuperbes n en remarqueront ni la délicate fie ni le s grâces? Qui verront les aCiions immortelles de votre belle vie tracées fur
les marbres de ces merveilleux Edifices 3 fins en connoître les Jjmboles augufies dont ïArchitecture aura rempli leurs ornemens? Quelle honte disfie d ceux qui négligeront de s infirmité dans cet
Art excellent 3 quand ilsfçamont que Adonfiigneur le ‘Dauphin j a déjà fiait un progrès fi confderable ?
Car ce Prince ne s’ejt pas contenté de s’appliquer d cette partie d’Architecture qui fin a la [cureté des Efiats & qui doit faire la principale étude des Conqucrans : Il a voulu aufii connaître
celle qui travaille d la décoration des Eemples & des Palais3 qui fert d la commodité p.bhque3a hmbelhffement des Villes, auplaifir & a la magnificence. Il fiait un de fs plus agréables divertijfiemens d’apprendre pour quelle ratfbn les matières qui compofint les Edifices
donnent tant de plaifir aux jeux de ceux qui les regardent3lors qu elles fint di[posées dans les proportions de l’Architecture 3 & tant de dégoufi quand elles [ont mal entafifées par des Ouvriers ignorans.
Ce fint4d 3 SIRE 3 les fruits que la France attend de vos Joins & de votre libéralité. La bonne intelligence des Architectes 3 leur
application au travail & le grand nombre de per [ormes qui viennent entendre avec afiiduité les leçons de l’Academie d Architecture 3 nous font ejperer que E. Ad. n aura point fiujet de fi repentir des marques quelle luj a données de fin efiime.
C’efit aufii dans cette veue que je compofidj ce cours d Architecture au moment que E. Ad. m’eut fiait l’honneur de me commettre pour avoir fin de fin Academie 3 La plus grande partie des chofis qui j ont été enfiignèes a été tirée de cet Ouvrage s Et tel qu il ejtj’ay cru être obligé de le prefinter d E. Ad. Drop heureux fi elle le regarde comme une marque de ma profonde obeïjfiance & du rcfpeCt avec lequel je fins 3
Le tres«humb!e, tres-obdïant,&: très-fidelle fervîteur
5c Sujet Blondel.
les marbres de ces merveilleux Edifices 3 fins en connoître les Jjmboles augufies dont ïArchitecture aura rempli leurs ornemens? Quelle honte disfie d ceux qui négligeront de s infirmité dans cet
Art excellent 3 quand ilsfçamont que Adonfiigneur le ‘Dauphin j a déjà fiait un progrès fi confderable ?
Car ce Prince ne s’ejt pas contenté de s’appliquer d cette partie d’Architecture qui fin a la [cureté des Efiats & qui doit faire la principale étude des Conqucrans : Il a voulu aufii connaître
celle qui travaille d la décoration des Eemples & des Palais3 qui fert d la commodité p.bhque3a hmbelhffement des Villes, auplaifir & a la magnificence. Il fiait un de fs plus agréables divertijfiemens d’apprendre pour quelle ratfbn les matières qui compofint les Edifices
donnent tant de plaifir aux jeux de ceux qui les regardent3lors qu elles fint di[posées dans les proportions de l’Architecture 3 & tant de dégoufi quand elles [ont mal entafifées par des Ouvriers ignorans.
Ce fint4d 3 SIRE 3 les fruits que la France attend de vos Joins & de votre libéralité. La bonne intelligence des Architectes 3 leur
application au travail & le grand nombre de per [ormes qui viennent entendre avec afiiduité les leçons de l’Academie d Architecture 3 nous font ejperer que E. Ad. n aura point fiujet de fi repentir des marques quelle luj a données de fin efiime.
C’efit aufii dans cette veue que je compofidj ce cours d Architecture au moment que E. Ad. m’eut fiait l’honneur de me commettre pour avoir fin de fin Academie 3 La plus grande partie des chofis qui j ont été enfiignèes a été tirée de cet Ouvrage s Et tel qu il ejtj’ay cru être obligé de le prefinter d E. Ad. Drop heureux fi elle le regarde comme une marque de ma profonde obeïjfiance & du rcfpeCt avec lequel je fins 3
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De votre Majefié3
Le tres«humb!e, tres-obdïant,&: très-fidelle fervîteur
5c Sujet Blondel.