Sonneries électriques: Thomas-Eldin, Cotte. 381 10 Candélabres de la façade: Compagnie du Gaz
de Cette................................................................. 2.900 » Lustrcrie: Beau, Paris....................................... 20.000 » Ignifuge des boiseries de scène: Prats, Mar
seille ..................................................................... 2.400 » Statues en marbre: Roussel, Paris.................. 14.000 » Peinture des panneaux du foyer : Guirand de
Scévola, Paris.................................................... 18.000 » Peinture des panneaux, escaliers d’honneur :
Troncy (Emile), Paris....................................... 10.000 » Peinture des panneaux, escaliers d’honneur :
Azéma et Galand, Paris................................... 10.000 » Housses en toile pour recouvrir le mobilier :
Mourgues, Cette................................................ 2.190 » Construction de châssis pour décors: Beau
duit, Paris............................................................ 7.750 »
DANS L ORNEMENTATION DES FAÇADES
par M. Eugène Leroux (1)
Décorer artistiquement et à peu de frais la façade ou les
(1) A la Librairie do la Construction Moderne, 13, rue Bonaparte. Un grand album cartonné comprenant un texte, et 16 planches en couleur format (33 X 45). Prix : 18 francs.
• grandes salles[d’un édifice a toujours été un problème délicat à résoudre. Cependant les Italiens, continuateurs des Gréco- Romains, l’ont, depuis des siècles, résolu avec le goût qui
les caractérise. Nous voulons parler du fécond emploi qu’ils ont fait des fresques et des sgraffiles. Si les fresques deman
dent des artistes spéciaux pour leur création, eL un climat spécial pour leur conservation, il n’en est pas de même des sgraffitcs, dont l’emploi a pu se propager en Autriche, en Suisse, en France, et même en Angleterre.
En France notamment, où la polychromie des façades est depuis plusieurs années fort en honneur, l’emploi des sgraffitcs permet d’obtenir un résultat aussi agréable que par l’application de céramiques ou de mosaïques, tout en étant incomparablement moins coûteux.
Les sgra (files se substituent donc à la sculpture ou aux procédés polychromes, toutes les fois que l’économie s’impose.
Un des artistes qui ont le plus fait pour propager en France l’emploi de cette décoration si simple et si élégante, est M. Eug. Ledoux, peintre-décorateur, qui a exécuté sur un
grand nombre de constructions récentes des compositions ornementales du meilleur effet.
Nul n’était donc mieux qualifié que lui pour rédiger un traité sur ce sujet.
C’est un recueil de semblables compositions, décorant des villas, maisons do rapport, théâtres, écoles, thermes, restaurants, que vient d’éditer la Librairie de la Construction
Foyer du public.
Vestibule.
de Cette................................................................. 2.900 » Lustrcrie: Beau, Paris....................................... 20.000 » Ignifuge des boiseries de scène: Prats, Mar
seille ..................................................................... 2.400 » Statues en marbre: Roussel, Paris.................. 14.000 » Peinture des panneaux du foyer : Guirand de
Scévola, Paris.................................................... 18.000 » Peinture des panneaux, escaliers d’honneur :
Troncy (Emile), Paris....................................... 10.000 » Peinture des panneaux, escaliers d’honneur :
Azéma et Galand, Paris................................... 10.000 » Housses en toile pour recouvrir le mobilier :
Mourgues, Cette................................................ 2.190 » Construction de châssis pour décors: Beau
duit, Paris............................................................ 7.750 »
Total général................................... 1.453.603 02 L’EMPLOI DES ENDUITS SGRAFFITES
DANS L ORNEMENTATION DES FAÇADES
par M. Eugène Leroux (1)
Décorer artistiquement et à peu de frais la façade ou les
(1) A la Librairie do la Construction Moderne, 13, rue Bonaparte. Un grand album cartonné comprenant un texte, et 16 planches en couleur format (33 X 45). Prix : 18 francs.
• grandes salles[d’un édifice a toujours été un problème délicat à résoudre. Cependant les Italiens, continuateurs des Gréco- Romains, l’ont, depuis des siècles, résolu avec le goût qui
les caractérise. Nous voulons parler du fécond emploi qu’ils ont fait des fresques et des sgraffiles. Si les fresques deman
dent des artistes spéciaux pour leur création, eL un climat spécial pour leur conservation, il n’en est pas de même des sgraffitcs, dont l’emploi a pu se propager en Autriche, en Suisse, en France, et même en Angleterre.
En France notamment, où la polychromie des façades est depuis plusieurs années fort en honneur, l’emploi des sgraffitcs permet d’obtenir un résultat aussi agréable que par l’application de céramiques ou de mosaïques, tout en étant incomparablement moins coûteux.
Les sgra (files se substituent donc à la sculpture ou aux procédés polychromes, toutes les fois que l’économie s’impose.
Un des artistes qui ont le plus fait pour propager en France l’emploi de cette décoration si simple et si élégante, est M. Eug. Ledoux, peintre-décorateur, qui a exécuté sur un
grand nombre de constructions récentes des compositions ornementales du meilleur effet.
Nul n’était donc mieux qualifié que lui pour rédiger un traité sur ce sujet.
C’est un recueil de semblables compositions, décorant des villas, maisons do rapport, théâtres, écoles, thermes, restaurants, que vient d’éditer la Librairie de la Construction
Foyer du public.
Vestibule.