VII. Gahier.
Explication des planches.
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Fig. a. b. c. d. Chapiteaux tirés de la partie la plus ancienne de l’église de St. Sebalde à Nuremberg. e. Leur profil. f. Profil de l’astragale. g. h. i. Les consoles du fut des colonnes en raccourci, continuation de la planche I du premier cahier.
Il est bien reconnu que l’eglise de St. Sébalde est une fille de la cathédrale de Bamberg. Il n existe à la vérité aucun document à l’appui de cette opinion, mais le genre et l’esprit des ornements, les profils et le style d’éxécution en général ne nous laissent aucun doute à cet égard, et nous pouvons affirmer avec certitude que cette belle église a été batie peu de temps après la fondation de la cathédrale de Bamberg par l’Empereur Henry II. Elle renferme de grandes beautés d’architecture, qui cependant sont détériorées et cachéés en grande partie par les differentes conches de peinture données à l’intérieur de l’église en 1559, en 1572, en 1657 et en 1819 et 1820. Ces malheureux badigeonnages nuisent singulèrement à l’effet que pourrait et devrait produire ce beau monument, car les couches de couleur supersosées ont tellement couvert les menus détails de sculpture, que l’oeil même du connaisseur a de la peine à en reconnaitre et à en suivre les formes. Dans ce moment même, en 1843, cette église est dans un déplorable état; il est vrai qu on y a posé un maitre autel et on à réparé quelques une des vitraux, mais du reste rien n y a été fait depuis longtemps et il serait fort à désirer que, quand on entreprendra une nouvelle restauration du monument; ou enlevat soigneusement les différentes couches de badigeonnages comme cela a au lieu à la cathédrale de Bamberg. Au moyen de cette opération, qui rendrait aux ornemens la netteté de leurs contours et découvrivrait les anciennes peintures et dorures cachées maintenant sous le platre, on rétablirait, l’harmonie de l’ensemble et l’effet grandiose de cette belle église.
Planche 2.
Fig. a. La frise du vaisseau latéral de l’église à coté de la tour. b. Un profil pris à l’église de St. Sébalde à Nuremberg ; à ce profil sont joints ce. et d. Des variations des consoles des cintres qui sont presque toutes différentes les unes des autres. e. Remplissages des cintres des portes et du choeur St. Pierre, f. Profil de ce dernier. g Console des futs de colonne, continuation de la planche I.
g. h. i.
ont
Les fenêtres cintrés qui l’on apperçoit au dessus du toit du vaisseau latéral et la frise Fig. a. qui les surmonte, prouvent évidemment que la fondation de cette église remonte au 11 siecle. Le choeur octogone est de la même epoque, excepté pourtant les ouvertures des fenêtres, qui été pratiquées au 14 siècle.
VII. Heft.
Erklärung der Platten.
Byzantinischer Styl.
Platte 1.
Fig. a. b. c. d. Capitäle aus dem ältesten Theil der St. Sebalds Kirche in Nürnberg. e. Profil derselben und f. Profil des Säulenreifs (astragal). g. h. i. Schaft-Consolen an den verkürzten Säulen, Fortsetzung der I. Platte des 1ten Heftes.
Die St. Sebaldskirche ist bekanntlich eine Tochter des Bamberger Doms. Urkunden darüber fehlen zwar, aber der Geist der Ornamentik, die Profile etc. und die ganze Ausführung lassen keinen Zweifel übrig, dass diese Kirche bald nach dem vom Kaiser Heinrich II. gegründeten Bamberger Dom angelegt worden ist. Diese Kirche hat so viele architectonische Schönheiten, die aber durch die fatalen Anstriche in den Jahren 1559, 1572 und 1657 und zuletzt in den Jahren 1819—20 am allermeisten compromittirt worden sind, so zwar, dass der Total-Eindruck, den diese herrliche Kirche auf den Beschauer machen müsste, sehr beeinträchtigt worden ist ; denn durch jene öfteren Anstriche sind alle feineren Gliederungen verstumpft und undeutlich geworden, so dass man nur mit grösster Mühe der Form der Ornamentik folgen kann. Ueberhaupt befindet sich diese Kirche noch jetzt, in einem bedauernswürdigen Zustande, denn ausser einem neuen Altar. und Herstellung einiger Glasgemälde, ist bis jetzt nichts für ihre fernere Erhaltung gethan worden, es ist daher sehr zu wünschen, dass bei der nächsten Herste!lung dieser Kirche wie beim Dome zu Bamberg verfahren werden möchte, wo nämlich aller Anstrich sorgfältig abgekratzt wurde; dadurch würden nicht allein die Schärfe der Ornamente, sondern auch die alten Bemalungen und Vergoldungen wieder sichtbar werden, wodurch die Harmonie und der schöne Eindruck, dessen sich die St. Lorenzkirche zu erfreuen hat, auch erhalten werden können.
Platte 2.
Fig. a. Fries am Seiten-Schiff nächst dem Thurme.
b. Profil an der St. Sebaldskirche in Nürnberg, dazu gehört
c. und d. als Abwechslung der Bogen-Consolen, welche fast alle verschieden sind. e. Bogenfüllungen an den Thüren und dem Peterchor. f. Dessen Profil, und g. Schaftconsole; Fortsetzung von Platte I, g. h. i.
Die Rundbogenfenster, welche noch über das Dach des jetzigen Seitenschiffs hervorsehen mit dem erwähnten Fries Fig. a., welcher darüber hinläuft, verweist die Erbauungszeit dieser Kirche entschieden in das 11. Jahrhundert. Der westliche Chor, aus dem Achteck construirt, gehört derselben Zeit an, jedoch mit Ausnahme der Fensteröffnungen, welche im 14. Jahrhundert eingesetzt worden sind.